FAITS SAILLANTS
- La santé publique pousse pour une 3e et 4e dose alors que l’INSPQ affirmait en décembre 2020 que « la 1re dose fournit de loin la plus grande part de la protection »
- La majorité des cas de covid après la 1re dose survient dans les 15 jours suivant l’injection, mais ces personnes sont catégorisées « non vaccinées »
- La très grande majorité des hospitalisations covid au Québec (plus de 80 %) sont des personnes « protégées » contre la covid
- Une étude canadienne a démontré que des injections à répétition contre la grippe augmentaient les risques d’infection
- Les données de pharmacovigilance (innocuité ou sûreté) des injections contre la covid, issues de quatre bases de données reconnues, sont catastrophiques au point de justifier un rappel des injections
- Plus de 75 % des décès (plus de 28 000) signalés depuis 1990 au système de surveillance des effets secondaires des vaccins aux États-Unis (VAERS) sont associés au vaccin contre la covid
- En Australie, « [l]es injections sont associées à une épidémie plus grave, avec une augmentation des infections, de la transmission, des maladies graves et des décès » en Nouvelle-Galles du Sud
- Les effets secondaires des médicaments, incluant les vaccins, sont largement sous-déclarés, au Québec et ailleurs
- Généralement, les pharmaciens hospitaliers au Québec « déclarent très peu d’effets secondaires à Santé Canada » et les médecins « ne signalent que peu de cas »
- La structure de pharmacovigilance au Québec est « faible » selon la littérature scientifique (mais bonne selon le « journaliste scientifique » du Soleil, Jean-François Cliche, qui ne semble pas comprendre de quelle façon elle s’opère!)
NOTE : Oui, je sais, mes articles sont LONGS, mais on y trouve beaucoup de faits et de sources crédibles, contrairement aux « fact-checks » de Jean-François Cliche, dont je me fais un plaisir de démolir l’argumentaire plus bas. Cela serait impossible sans des heures de recherches, de traduction et d’écriture, auxquelles je ne pourrais pas me consacrer sans votre appui inestimable, donc un GROS MERCI à tous ceux qui encouragent mon travail 😊
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Doses de rappel et prédictions erronnées de l’INSPQ sur la 1re dose
Dans son point de presse du 29 juin, le directeur de la santé publique Luc Boileau invite encore la population à aller se faire injecter une 3e ou une 4e fois pour se protéger contre la covid.

Pourtant, au tout début de la campagne d’injection, en décembre 2020, l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) nous disait qu’une seule dose protégeait à 92,3 % dans son document intitulé Stratégie de vaccination contre la COVID-19 : report de la 2e dose en contexte de pénurie :
« Ces résultats qui démontrent une très bonne efficacité de la 1re dose de vaccin ne sont pas surprenants. Pour plusieurs des vaccins avec un calendrier à plus d’une dose, c’est la 1re dose qui fournit de loin la plus grande part de la protection. Ce phénomène a été démontré pour les vaccins contre la coqueluche, la rougeole, la rubéole, les oreillons, la varicelle, le pneumocoque et l’hépatite A (7-12). Les doses additionnelles servent surtout à assurer la protection à long terme. » (Soulignements ajoutés)

Or, on ne se fait pas vacciner à répétition à tous les 3-4 mois pour ces maladies. Le schéma de vaccination s’arrête généralement à deux doses, parfois trois, selon les autorités sanitaires fédérale et provinciale. De plus, on peut se demander ce qu’on entend par « long terme » si l’on a besoin de 3 doses par an.
La Presse affirmait en juin 2021 que les injections conféraient une « protection durable pendant des années » :

Comment les scientifiques ont fait pour conclure cela sur la base de quatre mois d’expérience est pour le moins mystérieux. Visiblement, « la science » a eu tort sur ce point.
L’INSPQ affirmait également dans son document de 2020 :
« Il est possible que la protection conférée par une seule dose diminue graduellement et plus vite qu’avec 2 doses. Il est cependant peu probable que la protection conférée par une première dose se termine brusquement et rapidement.
S’il y a une incertitude sur la durée de l’efficacité d’une seule dose de vaccin, il existe une vraie certitude : tant que les individus ne sont pas vaccinés, ils demeurent à risque de contracter la COVID-19 et de développer des complications. Avec l’incidence de la COVID-19 qui restera élevée dans les premiers mois de 2021, l’absence de vaccination des personnes âgées de 70 ans et plus vivant en communauté entraînera des centaines d’hospitalisations et de décès par la COVID-19. » (Soulignements ajoutés)
Or, lorsque l’on regarde les statistiques du ministère de la Santé sur Twitter, en tenant compte uniquement des statuts non injectés et injectés 1ère dose ainsi que des double et triple-dosés, on constate qu’en date du 28 juin 89 % des personnes hospitalisées dans les 28 jours précédents sont des personnes qui ont reçu l’élixir qui devait justement leur éviter une hospitalisation.

Toujours au sein de ce sous-groupe (0, 1 , 2 et 3 doses), seulement 11 % des personnes hospitalisées dans les 28 jours précédents ont reçu une injection depuis moins de 14 jours ou ne sont pas injectées. On ne connait pas les proportions de non-injectés, car le ministère affirme ne pas avoir ces données.
Ce que l’on sait cependant, c’est que c’est précisément dans les 14 jours suivant la 1re dose qu’il y a le plus de cas chez les injectés, comme je l’explique dans l’article Manipulation des statistiques d’hospitalisations COVID et diabolisation des «non-vaccinés», sur la base des données de Santé publique Ontario :

Le tableau de bord ne nous donne pas non plus le nombre d’hospitalisations pour les quadruple-dosés, lesquels représentent 15 % de la population, soit 1 212 040 personnes.
Il n’indique pas non plus si les 5-11 ans hospitalisés sont injectés ou non et avec combien de doses. Selon VaccinTracker, 67 % des 5-11 ans ont reçu une dose et 50% sont doublement dosés. Parmi les 11 jeunes de 5-11 ans hospitalisés dans les 28 jours du tableau, combien sont injectés et avec combien de doses? Le tableau ne le dit pas.
Cela dit, selon les données du ministère de la Santé pour lesquelles le statut d’injection est connu, on peut conclure que près de 90 % des personnes hospitalisées pour la covid sont « protégées » contre la covid.
En ce qui a trait aux décès selon le statut vaccinal, il semble impossible de savoir exactement quelle est la proportion de non-injectés décédés, puisqu’on les mélange comme d’habitude avec les injectés, comme l’indique cet article de Radio-Canada, pour qui « non vacciné » et « non adéquatement vacciné » veut dire exactement la même chose :

Ce mélange de statuts défavorable au groupe de contrôle constitué des non-injectés est un choix conscient de la santé publique, puisque certains pays, comme le Royaume-Uni, ont fait le choix de distinguer clairement les personnes qui n’ont reçu aucune dose.
Ce choix de mélanger les statuts est incompréhensible de la part d’autorités qui se targuent d’en faire plus que les autres pour protéger la population. Cette pratique a pour effet de miner totalement la pharmacovigilance, car si aucune distinction n’est faite entre une personne qui a reçu une dose et une personne qui n’en a pas reçu, il devient pratiquement impossible de savoir si l’injection favorise l’infection et dans quelle mesure.
Or, les données de l’Ontario plus haut et celles de l’Alberta ci-dessous (effacées peu après leur publication l’hiver dernier), semblent indiquer que c’est exactement ce qui se produit.
Dans la colonne de gauche, on voit, de haut en bas, que les cas, les hospitalisations et les décès se produisent principalement dans les 15 premiers jours après la 1re dose :

Si ça se produit en Ontario et en Alberta, c’est fort probablement ce qui se produit au Québec.
Le Comité d’immunisation du Québec s’est donc trompé et pas à peu près dans ses prédictions, sur l’efficacité de la 1re dose et sur sa « certitude ». Sera-t-il sanctionné et ses membres suspendus deux mois sans salaire comme les professeurs de l’Université Laval, Patrick Provost et Nicolas Derome? Ces derniers semblent avoir eu entièrement raison d’être inquiets des effets indésirables, comme vous le constaterez en voyant les données alarmantes de pharmacovigilance ci-dessous.
Avant d’examiner ces données, rappelons qu’en 2016, Gaston De Serres, médecin-épidémiologiste à l’INSPQ, a participé à une étude avec 13 autres chercheurs de partout au Canada, concluant que :
« La variation du génome viral et les effets négatifs de la vaccination en série ont probablement contribué à la mauvaise performance du vaccin antigrippal en 2014-2015. » (Soulignements ajoutés)
L’étude, A Perfect Storm: Impact of Genomic Variation and Serial Vaccination on Low Influenza Vaccine Effectiveness During the 2014-2015 Season (Une tempête parfaite : impact de la variation génomique et de la vaccination en série sur la faible efficacité du vaccin antigrippal au cours de la saison 2014-2015), porte sur l’efficacité des vaccins anti-grippaux (VE ou EV en français) pour la période de 2014-2015.
Elle est intéressante dans le contexte actuel pour les raisons suivantes :
1- le virus avait muté, mais l’injection utilisée pour cette période était celle de l’année précédente;
2- les chercheurs ont constaté une efficacité significativement plus faible chez les personnes injectées chaque année entre 2012 et 2015.
Bref, les personnes injectées à répétition étaient significativement plus susceptibles d’attraper la grippe qu’une personne non vaccinée, puisque l’efficacité n’était pas nulle, mais plutôt négative.
Voici les détails de l’efficacité selon les vaccinations annuelles observées dans cette étude :
– vacciné seulement en 2014-2015 : 53 %
– vacciné en 2013-2014 et 2014-2015 : -32 %
– vacciné en 2012-2013, 2013-2014 et 2014-2015 : -54 %

Une étude du Danemark publiée en décembre 2021 sur les injections contre la covid a montré des résultats similaires d’efficacité négative pour le variant Omicron après 90 jours de la 2e dose, allant en deçà de -50 % pour l’injection de Pfizer :

Trois études récentes démontrent que les injections comportent beaucoup plus de risques que de bienfaits
Dans l’étude A statistical evaluation of COVID-19 injections for safety and effectiveness in the New South Wales epidemic (Une évaluation statistique de l’innocuité et de l’efficacité des injections contre la COVID-19 dans l’épidémie de la Nouvelle-Galles du Sud), publiée le 24 juin dernier sur ResearchGate, l’analyste Wilson Sy, PhD, arrive aux conclusions suivantes :
« Les injections sont associées à une épidémie plus grave, avec une augmentation des infections, de la transmission, des maladies graves et des décès, et montrent des risques accrus sans avantages globaux perceptibles. » (Soulignements ajoutés)
La figure 1 montre le nombre total de cas (en vert, par million) et de décès (en rouge, par millier). Les injections ont débuté en février 2021 :

Wilson Sy explique ainsi cette figure :
« Jusqu’au 23 février 2021, lorsque l’injection de masse contre la COVID-19 a commencé, le total cumulatif des cas et des décès liés à la COVID-19 en Nouvelle-Galles du Sud étaient respectivement de 5 154 et de 54. Depuis, en date du 22 mai 2022 (fin de la période de données), ces chiffres ont augmenté à 2,5 millions de cas et à 3 052 décès. C’est-à-dire que l’injection de masse de plus de 18 millions de doses a été suivie de 487 fois plus de cas et 57 fois plus de décès, même si la période d’injection massive (453 jours) n’est que 1,15 fois plus grande que celle sans injections (395 jours).
Au début, alors que l’injection de masse augmentait, les augmentations de cas et de décès ont été imputées à la “pandémie des non-vaccinés”. Cette affirmation est devenue intenable lorsque la plupart des gens étaient injectés au début de 2022, avec une moyenne de 1,68 dose par personne. Par la suite, une accélération rapide du nombre de victimes en Nouvelle-Galles du Sud s’est produite à mesure que les injections de COVID-19 ont atteint 2,23 doses par personne en date du 22 mai 2022.
En résumé, la principale constatation tirée des données brutes est que les injections de COVID-19 ont été associées non pas à une réduction, mais à une augmentation importante des infections, des formes graves de la maladie et des décès (voir la figure 1). Ce fait a été dissimulé par les rapports gouvernementaux comparant les statistiques pour des périodes limitées (quotidiennes et hebdomadaires) et confondant les catégories “vaccinés” et “non vaccinés”. » (Soulignements ajoutés)
Les tableaux de cette étude démontrent clairement une corrélation entre les injections et les hausses de cas, d’hospitalisations et de décès.
La figure 2 ci-dessous montre une corrélation entre le nombre cumulatif de doses administrées (en vert) et le nombre de cas (en rouge), par million :

La figure 3 montre les mêmes variations, mais pour des périodes de 60 jours, par millier :

La figure 4 montre les hospitalisations (en vert) par rapport aux soins intensifs (en rouge) :

La figure 5 est probablement la plus intéressante, puisqu’elle montre les nouvelles doses administrées (en vert, par millions) par rapport aux hospitalisations, pour des périodes de 30 jours (en rouge, par milliers) :

L’auteur explique que « les données sont loin de l’affirmation voulant que les injections aident à réduire la sévérité des infections et de la maladie. » Elles suggèrent exactement le contraire : « L’administration plus rapide des doses a mené à une augmentation des hospitalisations. » (Soulignements ajoutés)
Finalement, la figure 6 montre la corrélation entre les décès et les injections, et suggère « une croissance exponentielle » :

Des effets secondaires pas si rares, au contraire
Deux autres études indépendantes récentes démontrent que les risques d’effets secondaires graves liés aux injections sont si importants qu’ils l’emportent sur les bénéfices.
La première étude, « Serious Adverse Events of Special Interest Following mRNA Vaccination in Randomized Trials » (Effets secondaires graves d’intérêt particulier suivant la vaccination dans les essais randomisés), est parue le 23 juin sur SSRN. Parmi les 7 auteurs, on trouve 5 PhD et l’un d’eux est nul autre que Peter Doshi, rédacteur adjoint du British Medical Journal (BMJ), l’une des plus grandes revues médicales au monde.
Les chercheurs concluent :
« L’essai clinique de Pfizer a fait état d’un risque accru de 36 % d’événements indésirables graves [EIG] non liés à la COVID-19 chez les participants vaccinés par rapport aux bénéficiaires du placebo : 67,5 pour 10 000 contre 49,5 pour 10 000 […] L’essai de Moderna a révélé une augmentation de 5 % des risques d’EIG non liés à la COVID-19 chez les personnes vaccinées comparativement à celles qui ont reçu le placebo : 136 pour 10 000 contre 129 pour 10 000 […]
Au total, on trouve un risque accru d’EIG non liés à la COVID-19 de 15 % chez les bénéficiaires du vaccin à ARNm par rapport aux bénéficiaires du placebo : 98 pour 10 000 contre 85 pour 10 000 […] » (Soulignements ajoutés)

La deuxième étude, publiée le 11 juin dernier par le World Council for Health (WCH), est un rapport de pharmacovigilance sur les injections covid : Covid-19 Vaccine Pharmacovigilance Report.
Le comité directeur du WCH comprend sept professionnels de la santé de six pays, dont la Dre Tess Lawrie, directrice d’Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd (E-BMC) au Royaume-Uni, et deux médecins canadiens, Dr Mark Trozzi, urgentologue et professeur à l’Université Queen’s ainsi qu’à l’Université d’Ottawa, et Dre Jennifer Hibberd, chirurgienne dentiste et co-fondatrice de Canadian Covid Care Alliance.

Ce rapport « visait à déterminer s’il existe suffisamment de données de pharmacovigilance » dans les bases de données VigiAccess de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), VAERS du Centers for Disease Control (CDC), la base de données européenne Eudravigilance, et Yellow Card Scheme au Royaume-Uni pour « constituer un signal d’innocuité sur les vaccins contre la COVID-19 ».
Les auteurs expliquent :
« Normalement, ces bases de données ne sont pas utilisées pour déterminer l’innocuité d’une intervention. Cependant, les vaccins contre la COVID-19 en sont à la phase 3 des essais cliniques, et leur innocuité et leur efficacité n’ont pas encore été établies. La majorité de ceux qui ont reçu l’intervention (plusieurs milliards de personnes) ne sont pas suivis par les essais cliniques. Dans le présent rapport, le WCH vise à utiliser ces bases de données de pharmacovigilance établies pour détecter s’il existe un signal d’innocuité préoccupant chez les personnes qui ne sont pas surveillées par les essais cliniques. » (Soulignements ajoutés)
Ce rapport est extrêmement détaillé et passe au crible chaque base de données.
Voici les conclusions pour chacune d’entre elles :
VigiAccess de l’OMS :
« VigiAccess présente un nombre d’événements indésirables sans précédent dans la base de données pour tout autre produit pharmaceutique ou vaccin. Le nombre total de rapports d’événements indésirables ne peut être comparé directement en raison du manque de données contextuelles […] Cependant, étant donné que d’autres produits semblables ont été largement distribués à l’échelle mondiale en nombres comparables, l’ampleur de la disparité est très préoccupante. » (Soulignements ajoutés)
Comparativement au vaccin contre la tuberculose, les auteurs constatent « 80 fois plus d’événements indésirables signalés à VigiAccess pour le vaccin contre la COVID-19 ». (Soulignements ajoutés)
« Compte tenu de l’objectif déclaré de VigiAccess – analyser les rapports sur les présumés préjudices causés par les médicaments afin de trouver des “signaux” de réactions indésirables potentielles – une enquête immédiate et des mesures urgentes sont requises de la part de l’Organisation mondiale de la Santé. » (Soulignements ajoutés)
Effets indésirables les plus courants sur VigiAccess :
- Troubles du système nerveux – ~ 1 500 000
- Troubles musculosquelettiques et des tissus conjonctifs – ~ 1 000 000
- Troubles gastro-intestinaux – ~ 691 000
- Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés – ~ 477 000
- Troubles vasculaires – ~193 000
VAERS du CDC :
« Plus de 50 % de tous les rapports d’événements indésirables dans le VAERS, c’est-à-dire tous les vaccins depuis 1990, sont attribués aux vaccins contre la COVID-19 […] À l’heure actuelle, sur plus de 37 000 décès signalés au VAERS depuis 1990, 27 968 sont liés à des produits contre la COVID-19. Un décès à proximité immédiate d’un vaccin indique une relation causale plus probable. [L]a grande majorité des rapports sont produits dans les trois jours suivant l’administration du vaccin […]
Bien que, pour de nombreuses raisons, les rapports d’événements indésirables de vaccins individuels ne puissent pas être comparés directement, l’ampleur de la disparité des événements indésirables et des décès est une source de préoccupation […]
Les données du VAERS sont suffisantes pour établir un signal d’innocuité préoccupant. » (Soulignements ajoutés)

Effets indésirables les plus courants :
- Arthrite et arthralgie/douleurs articulaires
- Anaphylaxie
- Thromboembolie veineuse
- Myocardite/péricardite
- Accident cérébrovasculaire
- Convulsions/crises d’épilepsie
« Plus de 28 000 décès, soit plus de 75 % de tous les décès signalés au VAERS depuis 1990, sont associés au vaccin contre la COVID-19. »
EudraVigilance :
« Tous les cas individuels d’événements indésirables identifiés dans EudraVigilance sont les suivants :
Vaccin Covid-19 ARNm Moderna – 294 772
Vaccin Covid-19 ARNm Pfizer-BioNTech (Tozinameran) – 956 913
Vaccin Covid-19 Astrazeneca – 488 769
Vaccin Covid-19 Janssen – 59 751
Vaccin Covid-19 Novavax – 756Le nombre total d’événements indésirables individuels identifiés pour tous les vaccins Covid-19 sur EudraVigilance est supérieur à 1,8 million. » (Soulignements ajoutés)
Comparativement à 48 913 rapports d’effets indésirables chez 673,2 millions d’individus vaccinés pour la rougeole, il y en a eu 1,8 million pour les injections anti-covid sur un total de 341 millions d’Européens injectés.
Les auteurs concluent que « l’ampleur de la disparité dans le nombre total de cas individuels signalés pour les vaccins contre la COVID-19 sur Eudravigilance est très préoccupante » et que « les données sont suffisantes pour établir un signal d’innocuité alarmant pour ces produits ». (Soulignements ajoutés)
Notons que plus de 1 000 signalements d’événements indésirables étaient chez « des enfants pour lesquels le vaccin n’a pas été autorisé ». Les auteurs estiment nécessaire « de prendre des mesures immédiates et urgentes ».
Effets indésirables les plus courants :
- Troubles du système nerveux – ~ 746 000
- Troubles musculosquelettiques et des tissus conjonctifs – ~ 543 000
- Troubles gastro-intestinaux – ~ 344 000
- Infections et infestations – ~ 220 000
- Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés – ~ 213 000
Yellow Card Scheme :
Avec 450 000 rapports d’effets indésirables, ces données sont elles aussi considérées comme suffisantes pour un signal d’innocuité.
Effets indésirables les plus courants :
- Troubles du système nerveux – ~ 285 000
- Troubles musculosquelettiques et des tissus conjonctifs – ~ 175 000
- Troubles gastro-intestinaux – ~ 135 000
- Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés – ~ 101 000
- Troubles de l’appareil reproducteur et du sein – ~ 57 000
Les trois rapports les plus courants par groupe de réaction dans VigiAccess, Eudravigilance et UK Yellow Card, sont les troubles du système nerveux, les troubles musculosquelettiques et des tissus conjonctifs, et les troubles gastro-intestinaux.
Base de données | Troubles du système nerveux | Troubles musculosquelettiques et des tissus conjonctifs |
VigiAccess | 1 500 000 | 1 000 000 |
EudraVigilance | 746 000 | 543 000 |
UK Yellow Card | 285 000 | 175 000 |
Nombre de décès par base de données :
VigiAccess | EudraVigilance | UK Yellow Card | VAERS |
~ 22 000 | ~ 800 | ~ 2100 | ~ 28 000 |
Si ces chiffres sont effarants, les auteurs soulignent que « [l]a surveillance passive, comme les bases de données de pharmacovigilance étudiées dans le présent rapport, produit beaucoup moins de rapports sur les événements indésirables que la surveillance active. » Selon eux, le nombre d’effets indésirables est en réalité bien plus élevé que ce que disent les bases de données.
Un rapport de 2012 du département de la Santé et des services sociaux aux États-Unis indiquait d’ailleurs que « moins de 1 % des effets indésirables des vaccins sont rapportés » dans le système de surveillance Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) :
« Les faibles taux de déclaration empêchent ou ralentissent l’identification des médicaments et vaccins “problématiques”, mettant ainsi en danger la santé publique. De nouvelles méthodes de surveillance des effets indésirables des médicaments et des vaccins sont nécessaires. Les obstacles à la déclaration comprennent le manque de sensibilisation des cliniciens, l’incertitude quant au moment de la déclaration et aux sujets à déclarer, ainsi que le fardeau de la déclaration […] »
Jean-François Cliche, « journaliste scientifique » au Soleil, et la pharmacovigilance
Dans son article « Un prof de l’Université Laval suspendu pour ses propos contre les vaccins anti-COVID », Jean-François Cliche, le sociologue-historien devenu journaliste scientifique au Soleil, affirme que le professeur Provost a tort de dénoncer « l’absence d’un système de surveillance active des effets secondaires » des injections.

Selon lui, cela est « manifestement faux : une surveillance est bel et bien exercée et a permis de détecter certains effets secondaires graves (mais très rares) des vaccins, comme le risque accru de myocardites associé aux vaccins à ARNm (surtout pour les jeunes hommes) et les thromboses veineuses profondes associées au vaccin de Johnson & Johnson ». (Soulignements ajoutés)
Jean-François Cliche n’a pas compris ce que voulait dire Patrick Provost, qui parle d’un système de surveillance active et non pas d’un système actif de surveillance.
Le « journaliste scientifique » ne semble pas savoir qu’il existe deux types de surveillance ou pharmacovigilance : active et passive.
Voici la différence entre les deux :
« Contrairement à la pharmacovigilance passive, fondée sur des déclarations spontanées en grande partie volontaires (et donc incomplètes) des effets indésirables des médicaments, avec peu d’information sur les caractéristiques des patients, la pharmacovigilance active repose sur des dossiers de santé électroniques contenant des renseignements détaillés sur les populations de patients, ce qui permet de tenir compte de facteurs modificateurs comme la polypharmacie et la comorbidité, ainsi que de caractéristiques sociodémographiques. »
Cette idée reçue voulant que les effets secondaires graves soient « très rares » est justement due au fait que notre système de pharmacovigilance est passif et non actif, mais aussi – et peut-être surtout – parce que bien des soignant refusent catégoriquement d’établir des liens entre les effets secondaires et les injections, mêmes si ces effets sont reconnus par le fabricant, selon de nombreux témoignages de victimes d’effets secondaires.
Les injections sont « sûres et efficaces », selon l’industrie, les autorités sanitaires et les soignants.
Vous avez une paralysie faciale? Vous l’auriez eu éventuellement, ce n’est pas l’injection.
Vous avez des thromboses dans les deux jambes? C’est parce que vous avez eu la covid, ce n’est pas dû à l’injection.
Voilà ce que se sont fait répondre deux victimes par leur médecin. La première, consciente qu’il s’agit d’effets secondaires, l’autre pas, et qui fait confiance à son médecin.
Sommes-nous face à de l’aveuglement volontaire ou à un lavage de cerveau généralisé?
Nous avons vu que les données des systèmes de pharmacovigilance étrangers ne rendent pas justice à la réalité et que la sous-déclaration semble systématique.
Qu’en est-il maintenant de la pharmacovigilance au Québec?
Il s’avère qu’une étude sur le sujet a été publiée en avril 2019 : Profil de la pratique de la pharmacovigilance en établissement de santé au Québec. Ses auteurs en viennent aux mêmes conclusions que ceux du WCH, soit que « la déclaration des effets indésirables médicamenteux (EIM) reste encore largement inférieure au nombre réel d’EIM avéré et mérite d’être encouragée ». (Soulignements ajoutés)
Ils ajoutent qu’il « s’agit de la première enquête évaluant l’organisation de la pharmacovigilance et la perception qu’en ont les chefs des départements de pharmacie du Québec ». Ils notent également que « dans la littérature scientifique, on ne recense que quelques recherches sur l’organisation de la pharmacovigilance ».
D’abord, qu’apprend-on dans cette étude en ce qui concerne la loi sur la pharmacovigilance?
« En vertu de l’article 21.8 de la Loi sur les aliments et drogues, “tout établissement de soins de santé désigné par règlement est tenu de fournir au ministre […] les renseignements réglementaires qui relèvent de lui concernant les réactions indésirables graves à une drogue mettant en cause un produit thérapeutique ou les incidents liés à un instrument médical et mettant en cause un tel produit”.
Cette nouvelle disposition adoptée en novembre 2014 dans le cadre du projet de Loi de Vanessa entrera en vigueur au cours de l’hiver 2019 […] En vertu du projet modifiant le Règlement sur les aliments et drogues, on précise que « les renseignements […] qui relèvent de l’hôpital concernant toute réaction indésirable grave à une drogue sont fournis au ministre par écrit dans les 30 jours suivants le jour où la réaction indésirable grave à une drogue est consignée pour la première fois dans l’hôpital » […] Les médicaments de recherche […], les médicaments pour traitement d’urgence […] et les vaccins sont exclus de cette obligation. » (Soulignements ajoutés)
Quelles sont les conclusions de cette étude?
« Notre étude met en évidence plusieurs écarts en matière d’organisation de la pharmacovigilance […] À la vue de ces données, on observe que les pharmaciens hospitaliers québécois déclarent très peu d’EIM à Santé Canada. Il faut noter que Santé Canada ne publie pas de données de déclarations par province ou par établissement, ce qui ne nous permet pas de comparer les données de notre enquête au nombre réel d’EIM rapportés […]
En outre, la littérature scientifique reconnait qu’il existe une sous-déclaration des EIM, qui découle, à notre avis, d’une communication et d’un arrimage limité entre les chefs de départements de pharmacie et l’autorité réglementaire. Plusieurs autres facteurs contribuent à cette sous-déclaration, dont le temps requis pour adresser une notification, le manque de convivialité des outils disponibles pour faire les déclarations, l’absence de rétroaction de l’autorité réglementaire et la perception que la déclaration a peu d’impact sur la qualité des soins. À l’échelle québécoise, la sous-déclaration peut aussi s’expliquer par son caractère encore facultatif à ce jour. » (Soulignements ajoutés)
Après avoir lu tout ce qui précède, on se demande sur quelle littérature scientifique le « journaliste scientifique » du Soleil s’appuie pour affirmer que notre système de pharmacovigilance fonctionne bien, surtout en ce qui concerne les vaccins, qui sont exclus de l’obligation des hôpitaux de communiquer au ministre dans les 30 jours les renseignements concernant les effets indésirables graves, comme en fait foi cette capture d’écran du Règlement sur les aliments et drogues :

Au Québec, « [l]es professionnels de la santé et des services sociaux qui doivent déclarer les MCI [manifestations cliniques inhabituelles, autre terme pour « effets secondaires »,] sont les vaccinatrices et vaccinateurs, les médecins, les inhalothérapeutes, les pharmaciens, les infirmières et infirmiers ainsi que les sages-femmes », peut-on lire sur le site du ministère de la Santé.

Dans un article de la revue Le Médecin du Québec d’avril 2009, le Dr Pierre Biron, « grand spécialiste de la pharmacovigilance au Québec » et « fondateur d’un programme de pharmacovigilance à l’Université de Montréal », déplore le fait que les médecins « ne signalent que peu de cas » parce qu’on « ne fait pas grand-chose pour les y encourager ».
En effet. On fait tout pour les décourager. Plusieurs médecins qui ont osé faire des mises en garde sur les injections covid ont été menacés de mesures disciplinaires par le Collège de médecins ou ont été carrément sanctionnés, comme de nombreux autres professionnels l’ont été par leur ordre.
Les critiques envers le régime sanitariste ne sont clairement pas tolérées par le Conseil interprofessionnel du Québec (CIQ), qui se présente comme « la voix collective des ordres ».
Le CIQ a pondu en mai 2021 un document intitulé Les obligations professionnelles et déontologiques à l’ère de la covid-19: quelle liberté d’expression pour les professionnels?.
Le CIQ qualifie des critiques de la crise sanitaire de « théories conspirationnistes », sans dire en quoi elles consistent ni expliquer pourquoi elles sont « conspirationnistes ». On donne l’exemple d’un chiropraticien accusé d’avoir eu des « propos et des opinions dénonçant le port du masque et l’efficacité du vaccin » alors qu’il n’avait pas les compétences pour le faire. Ces propos sont considérés comme des « acte[s] dérogatoire[s] à l’honneur ou à la dignité de la profession ».
Ce qui est hallucinant dans ce qui précède, c’est que lorsque l’auteure de ces lignes a fait une plainte au Collège des médecins contre trois personnalités publiques qui, totalement hors de leur champs de compétence, recommandaient à la population entière d’aller se faire injecter, le Collège des médecins avait une toute autre attitude :
« La section d’exercice illégal de la médecine ne va pas faire enquête sur des gens qui recommandent de prendre le vaccin, ou faire enquête sur des gens qui sont contre le vaccin. »
Donc pour le Collège des médecins, n’importe quel quidam peut recommander l’intervention médicale contre la covid! Ça vous sécurise? En revanche le Collège enquête bel et bien sur ses membres qui critiquent les injections, même s’ils ont les compétences pour le faire.
Il est clair que cette attitude despotique n’incite pas les médecins à déclarer les effets secondaires des injections.
Cela dit, malgré les multiples disfonctionnements du système de pharmacovigilance et la sous-déclaration des effets indésirables des injections covid, les données actuelles de quatre bases de données reconnues donnent raison à tous les « conspirationnistes » qui, à leurs risques et périls, ont mis la population en garde contre ces injections.
Rappelons donc au CIQ ses propres conclusions, en ajoutant le contexte d’injection expérimentale de masse :
« Dans un contexte d’urgence sanitaire due à la COVID-19, [d’injection expérimentale de masse] et de crise mondiale, les professionnels ne
doivent pas oublier que la protection du public, mission première des ordres professionnels, n’a pas été suspendue. Ainsi, ils doivent continuer à maintenir les plus hauts standards d’éthique, à défaut de quoi ils pourront s’exposer à une plainte disciplinaire […]Un professionnel peut certes partager ses opinions, mais celles-ci doivent être empreintes de modération, être basées sur des éléments raisonnables, et ne pas porter atteinte à la confiance du public à l’égard de cette profession. » (Soulignements ajoutés)
Les standards d’éthique sont actuellement à leur plus bas en raison de la négligence totale des ordres professionnels face aux dangers des injections, à commencer par celle du Collège des médecins, et la protection du public est somme toute NULLE.
Le Dr Biron disait ceci en entrevue au Devoir en 2020 :
« Il y a une omerta de longue date et un manque de transparence en vaccinologie par rapport à d’autres domaines des produits pharmaceutiques. C’est un monopole d’une douzaine de compagnies dans le monde. Et elles ont une impunité juridique s’il y a des effets secondaires. De plus, elles n’ont qu’un seul client par pays : la Santé publique, ici et ailleurs, ce qui simplifie le lobbying. »
Enfin, selon les auteurs de l’étude de 2019 sur la pharmacovigilance, leur recherche met en évidence les points suivants :
- « la faiblesse de la structure de soutien de la pharmacovigilance en établissement de santé au Québec »
- « sans financement adéquat ou sans priorisation explicite au sein d’une organisation, il est difficile de maintenir une activité de pharmacovigilance structurée »
- le « nombre limité de coordonnateurs en pharmacovigilance »
- « seulement deux établissements utilisent des outils d’identification des patients ayant potentiellement présenté un EIM »
- « Santé Canada ne permet pas de déclaration en ligne (c.-à-d. seulement un fichier PDF avec champs saisissables), ce qui alourdit considérablement le processus actuel de déclaration »
Les chercheurs concluent qu’« une révision de l’organisation de la pharmacovigilance et des ressources qui lui sont allouées semble incontournable à court terme ». (Soulignements ajoutés)
Structure faible + manque de financement, d’effectifs et de ressources + processus lourd + Inquisition professionnelle + influence malsaine et tentaculaire de l’industrie pharmaceutique = PUBLIC EN DANGER.
Bref, notre système de pharmacovigilance est loin d’être « sûr et efficace » et de bien fonctionner, comme l’affirme le « journaliste scientifique » du Soleil en se basant visiblement sur des arguments d’autorité, (comme le vent?) en contradiction totale avec la littérature scientifique et les données alarmantes de pharmacovigilance.
Les effets secondaires ne sont pas « très rares », ils sont plutôt rarement déclarés en raison d’un système déficient et d’une communauté scientifique qui a failli lamentablement à sa mission de protection du public.
L’un des meilleurs exemples est le regroupement des personnes non injectées avec celles injectées depuis moins de 14 jours. Comment des scientifiques peuvent penser une seule seconde que cette absence de distinction est normale et permet d’assurer une pharmacovigilance adéquate?
Comment ne pas penser que cette manière de calculer vise spécifiquement à tromper la population afin de protéger une industrie astronomiquement lucrative et récidiviste, tout en faisant porter le blâme des cas à leurs critiques et à ceux qui ont résisté à leur propagande omniprésente et inouïe?
En conclusion, si les effets indésirables des injections covid, bien que sous-déclarés, sont incroyablement plus nombreux que ceux de tous les autres vaccins, imaginez les vrais chiffres.
Il s’agit d’un phénomène d’une importance capitale pour la protection du public et dont les autorités et les médias nient l’ampleur.
Pourquoi? Certainement pas pour que l’on « continue de se protéger ». Peut-être pour se protéger eux-mêmes?
À la lumière des données inquiétantes citées plus haut, il est impensable que les gouvernements soient de bonne foi en agissant de manière despotique pour forcer la population à se faire injecter ces produits suffisamment dangereux pour nécessiter un rappel.
Le slogan sanitaire « on continue de se protéger » ornant les murs des points de presse de la CAQ et de la santé publique a perdu toute crédibilité, tout comme les autorités gouvernementales et sanitaires, les ordres professionnels, certaines universités et les grands médias.
Voici les conclusions du WCH, ignorées par ceux qui sont censés nous protéger :
- « Il existe suffisamment de données probantes sur toutes les bases de données de pharmacovigilance examinées dans le présent rapport pour établir un signal d’innocuité préoccupant au sujet des vaccins contre la COVID-19. »
- « Les types de déclarations d’effets indésirables liés aux produits contre la COVID-19 sont de nature grave. »
- « Il y a suffisamment de preuves d’événements indésirables liés aux vaccins contre la COVID-19 pour indiquer qu’un rappel de produit est immédiatement nécessaire. » (Soulignements ajoutés)
Les 28 000 à 29 000 décès rapportés au VAERS surpassent de très loin les décès attribués aux autres produits pharmaceutiques qui ont fait l’objet d’un rappel depuis 1955, dont le Vioxx, retiré après 6 636 décès :

De telles données expliquent en partie pourquoi les débats ne sont pas permis en QRSS.
L’élite sanitariste perdrait et le débat et la confiance qu’une trop grande partie de la population leur a accordée depuis deux ans.
Chère Julie,
Un travail de moine!
Je le réitère, merci.
J’ai vu le rapport de la chaire unesco prev sur le conspirationnisme au Qc. Je suis sous le choc.
Je ne peux ni commenter, ni réagir sans me mettre à risque. Trop proche de mon travail au ministère.
J’ai entendu que vous prévoyez aborder cette question prochainement. Tu peux me dire quand? Je ne veux pas manquer ça.
Très chaleureusement.
Paula
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Merci ma chère Paula! Je ne sais pas encore, j’en ferai la publicité c’est sûr 🙂
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Tu es incroyable! Quelle travaillante minutieuse tu es! Je te remercie pour ton travail exceptionnel et très éclairant. Tu es vraiment une référence. Quand tu auras du temps (hi! hi!), tu pourrais faire des présentation audios qui expliquent les différents tableaux et contenus. Je suis enseignante et je pense à ceux qui ont de la difficulté en lecture… MERCI pour tout!
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Merci Jocelyne!!! Oui, je vais faire une vidéo cette semaine et passer à travers mon article 🙂
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*présentations
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Wow! Un dossier super étoffé d’une grande rigueur! J’admire votre travail.
Félicitation Mme Lévesque!
Julie Rouleau
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Merci Julie!!! On peut se tutoyer et tu peux m’appeler Julie 🙂 Je ne m’habituerai jamais à Mme Lévesque ha ha!
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Wowwwww quel beau travail de recherche… Maniaque jusqu’à l’os , comme c’est essentiel et surtout les bilans avec toutes les poussières… FANTASTIQUE JULIE 💥👀💥👀💥
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Merci Claude pour tes bons mots!!!
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