14,4 millions de vies sauvées par les injections covid? IMPOSSIBLE

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Voici le résumé d’un déboulonnage publié par PANDA, une organisation fondée en avril 2020.

PANDA se décrit comme une organisation de professionnels multidisciplinaires « indépendante sur les plans politique et économique », vouée à l’étude et à l’explication des données internationales. Le groupe a été formé en réaction aux mesures sanitaires « exagérées et dommageables pour la société au point de provoquer une grande déchirure du tissu social ».

Dans Inquiry Into the Drivers of Excess Deaths 2020-2023: Part 1 (Enquête sur les facteurs de surmortalité entre 2020 et 2023 : Partie 1), publié le 2 avril 2023, Dr. Todd Kenyon et Thomas Verduyn estiment qu’il est « impossible que les vaccins aient sauvé 14 millions de vies en 2021 », tel que le prétendent certains chercheurs financés par les suspects usuels.

Kenyon et Verduyn examinent de près les prétentions d’un texte du Lancet paru le 23 juin 2022, « Global impact of the first year of COVID-19 vaccination: a mathematical modelling study » (Impact mondial de la première année de vaccination contre la COVID-19 : une étude de modélisation mathématique), dans lequel on « estime que la vaccination a permis d’éviter 14,4 millions de décès liés à la COVID-19 dans 185 pays et territoires entre le 8 décembre 2020 et le 8 décembre 2021 ».

Cela est tout simplement impossible, affirment les auteurs de PANDA.

Ils démontrent cette impossibilité de manière très convaincante par de simples calculs basés sur les données concernant les cas confirmés, les décès toutes causes confondues, ainsi que les taux de mortalité par infection et par cas (infection fatality rate (IFR) et case fatality rate (CFR)).

(Pour plus de détails sur les deux dernières notions et leurs différences, voir le document de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) « Estimation de la mortalité due à la COVID-19 ».)

1- Mortalité mondiale de la covid

Selon les vérificateurs de faits de PANDA :

« [L]’OMS signale qu’en date du 17 février 2023, il y avait “756,5 millions de cas confirmés de COVID-19, dont 6,84 millions de décès”. Cela donne un taux de mortalité moyen global de 0,9 %. À ce rythme, si le vaccin contre la COVID-19 avait permis d’éviter 14,4 millions de décès en l’espace d’un an, il aurait aussi fallu qu’il prévienne 1,59 milliard de cas confirmés au cours de la même année. Cela représente cependant plus du double du nombre total de cas en trois ans, ce qui signifie qu’il faudrait multiplier par six le nombre de cas confirmés depuis le début de l’ère de la COVID-19. Par conséquent, si l’on se fie au taux de mortalité par cas (CFR), il est impossible que les vaccins aient permis d’éviter 14,4 millions de décès. »

2- Mortalité selon le groupe d’âge

Le taux de létalité dépend de l’âge, indiquent les auteurs en mentionnant un article du BMJ d’octobre 2020, dans lequel on mentionne des données du Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis : 8 décès sur 10 liés à la covid étaient chez les personnes de 65 ans et plus.

Si les injections covid avaient sauvé 14,4 millions de personnes de la mort, il aurait fallu qu’elles préviennent 11,5 millions de décès chez les personnes de 65 ans et plus, soulignent Kenyon et Verduyn.

Or, selon les Nations Unies, expliquent-ils ensuite, la population mondiale est de 7954 millions (7,954 milliards). Les 65 ans et plus comptent pour environ dix pour cent de la population mondiale, soit 795 millions de personnes.

Selon ces chiffres, les auteurs affirment :

« Pour avoir sauvé la vie de 11,52 millions d’entre eux, il aurait fallu que les choses suivantes se soient produites au cours de cette année [2021] :

1. Les 795 millions de personnes de plus de 65 ans ont toutes été vaccinées.

2. Aucune de ces personnes n’a contracté la COVID-19 pendant qu’elles attendaient d’être « entièrement » vaccinées.

3. Les vaccins sont efficaces à 100 % (réduction absolue du risque) pour prévenir les décès.

4. Sans la vaccination, ces 795 millions de personnes auraient contracté la COVID-19.

5. Le taux de mortalité par infection (IFR) moyen de la COVID-19 pour les personnes de plus de 65 ans non vaccinées est d’au moins 1,45 %. »

Ces affirmations sont ou « incorrectes ou impossibles », disent les auteurs, si l’on se fie à l’estimation d’un article du Lancet de février 2022 voulant que la létalité de la covid pour les personnes de 60 ans et plus avant les injections était de 1,0035 %.

Les auteurs de PANDA concluent qu’il est impossible que les injections aient sauvé la vie de 14,4 millions de personnes lorsque l’on tient compte la létalité basée sur l’âge.

Première vaccinée du Québec, le 14 décembre 2020, Mme Gisèle Lévesque, est décédée presque 7 mois plus tard, le 4 juillet 2021. Les causes de son décès sont inconnues.

3- Décès « en raison de la pandémie » : 18,2 millions?

Dans un troisième temps, les auteurs prennent les données d’un autre article du Lancet de mars 2022, où l’on affirme que « 18,2 millions de personnes sont décédées dans le monde en raison de la pandémie de COVID-19 ».

Si les injections ont prévenu 14,4 millions de décès, sans elles, il y aurait dû avoir 32,6 millions de décès et non 18,2 millions :

« Pour qu’un tel nombre de personnes soient mortes, il aurait fallu que les huit milliards de personnes dans le monde aient été infectées par la COVID, et une létalité (IFR) moyenne mondiale d’au moins 0,41 %. »

Pourtant, selon les estimations de John Ioannidis publiées par l’OMS en octobre 2020, ce taux de létalité était de 0,23 %, voire « substantiellement plus bas ».

Il faut donc conclure, avancent Kenyon et Verduyn que « soit l’article du Lancet selon lequel 18,2 millions de personnes sont décédées au cours des deux premières années de la COVID-19 est inexact, soit l’autre article du Lancet selon lequel 14,4 millions de décès ont été évités au cours de la première année du vaccin est inexact, soit les deux articles sont inexacts ».

4- Nombre de personnes âgées « vaccinées » nécessaires pour éviter une hospitalisation

En dernier lieu, les auteurs comparent l’estimation des 14,4 millions de vies sauvées aux données de janvier 2023 publiées par l’agence de santé du Royaume-Uni (UKHSA).

Le tableau 4 de l’annexe 1 indique que pour prévenir l’hospitalisation aux soins intensifs d’une personne de 70 ans et plus, 2500 personnes de ce groupe d’âge doivent être « vaccinées ». De tous les groupes d’âge, celui-ci requiert le plus grand nombre de personnes injectées pour éviter une hospitalisation.

« Si nous appliquons ce chiffre à l’ensemble de la population mondiale, en supposant que cette population entière est âgée de plus de 70 ans et que chaque âme a été vaccinée, selon les données de l’UKHSA, seulement 3,2 millions d’hospitalisations graves seraient évitées. Il est donc clairement impossible que les vaccins aient permis d’éviter 14,4 millions de décès. »

Peu importe sous quel angle on aborde le problème, il est impossible que 14,4 millions de vies aient été sauvées par les injections, jugent les auteurs, qui ajoutent avoir utilisé « les valeurs et les hypothèses les plus favorables aux auteurs » des articles qu’ils critiquent, même si celles-ci peuvent être surestimées.

Alors? Combien de vies ont été sauvées par les injections?

Kenyon et Verduyn admettent qu’il est difficile de répondre à cette question, mais estiment qu’il est possible d’établir une limite en se basant sur les essais cliniques de la phase 3 de Pfizer, publiés dans le New England Journal of Medicine.

Selon ces résultats, il y a eu 162 cas de covid dans le groupe placebo de 21 728 volontaires, contre seulement 8 cas dans le groupe de 21 720 personnes ayant reçu l’élixir. Ce sont donc 154 infections qui ont possiblement été prévenues par l’injection (162 – 8 = 154) dans le groupe de 21 720 personnes.

Les auteurs prennent ensuite les données de Our World in Data indiquant qu’à la fin de 2021, 4,5 milliards de personnes avaient reçu au moins une dose. Ils comparent ensuite les données des essais cliniques mentionnées ci-dessus et estiment que, selon ces données, les injections pourraient avoir prévenu 31,9 millions d’infections.

À la défense de Pfizer, il faut admettre que les auteurs ont manqué de rigueur ici, puisque les chiffres des essais cliniques qu’ils citent sont ceux obtenus après 2 doses. Après une dose, il y a eu 39 cas de covid dans le groupe témoin et 82 dans le groupe placebo.

Cela dit, l’estimation des 14,4 millions de vies sauvées demeure exagérée, puisque si l’on se fie au taux de létalité de 0,23 % de l’OMS, le nombre maximal de décès pouvant être évité grâce à l’injection est de 73 384, donc 200 fois moins que 14,4 millions, écrivent les auteurs.

Selon ces derniers, trois erreurs peuvent expliquer cette surestimation de vies sauvées :

« 1. L’emploi d’un modèle inexact.

2. La surestimation de la létalité.

3. La surestimation de l’efficacité des vaccins. »

Il leur est difficile d’évaluer le modèle mathématique en raison du manque d’informations.

En ce qui concerne la surestimation de la létalité, les auteurs de l’article du Lancet ont utilisé les données sur la surmortalité toutes causes confondues pour déterminer la létalité covid! Il y a donc nécessairement surestimation de la dangerosité du virus et de la maladie.

Quant à l’efficacité vaccinale, elle repose sur des hypothèses prouvées fausses, soit que l’injection protège contre l’infection et la maladie grave, et qu’elle réduit la transmission, les personnes infectées malgré l’injection étant moins contagieuses.

L’article de PANDA se termine ainsi :

« Par conséquent, en surestimant à la fois la mortalité causée par la COVID et l’efficacité des vaccins, les auteurs de cet article ont tiré des conclusions manifestement erronées sur le nombre de décès de la COVID-19 évités par les injections. Ces erreurs flagrantes ne sont peut-être pas tout à fait surprenantes compte tenu des conflits d’intérêts notables en cause, le document ayant été partiellement financé par des organisations connues pour être des défenseurs des vaccins (GAVI, l’OMS et la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF)). »

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2 commentaires sur “14,4 millions de vies sauvées par les injections covid? IMPOSSIBLE

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  1. Merci Julie,
    Malheureusement, pour un grand nombre de la population (nombre en diminution, j’espère) toute la logique, tout les chiffres, toute la science n’ébranle pas leur croyances de l’efficacité du « vaccin ».
    J’ai reçu un courriel avant hier d’un ex copain, un avocat talentueux qui vient de gagner une cause très difficile contre le gouvernement, annonçant que malgré les 5 injections qu’il a reçu, il a eu le covid. Il était très content parce que, « grace aux injections », son cas a été leger.
    Votre article démontre (encore) les chiffres mensongères pour ceux qui s’intéressent.

    J’aime

    1. En effet, pour ces personnes, aucun argument rationnel, factuel ne peut remettre en question leur croyance… Sauf peut-être si Radio-Canada finit par dire la vérité? Je crois que quand les gens affirment que « grâce à leurs multiples doses » ils ont été moins malade, il faut leur demander ils se comparent à qui. Comment « savent »-ils que c’est plus léger grâce au « vaccin »? Connaissent-ils des gens qui n’ont pas eu le « vaccin » et qui ont eu une covid légère? Comment expliquer cela? Et comment expliquer que des gens meurent de la covid malgré le « vaccin »? Mais bon, bien des gens sont simplement irrécupérables…

      Aimé par 1 personne

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