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Belle découverte hier soir : une conférence d’Abigail Shrier, journaliste au Wall Street Journal et auteure du livre Dommages irréversibles – Comment le phénomène transgenre séduit les adolescentes.
La journaliste explique dans cette conférence très éclairante que la dysphorie de genre, décrite comme « une détresse cliniquement significative ou une altération fonctionnelle associée à une incongruence entre le sexe expérimenté/exprimé et le sexe attribué à la naissance », est un phénomène bien réel, quoique rare.
Il ne s’agit pas d’une opinion de droite transphobe, mais bien de ce que révèle la littérature médicale. Voici un extrait du Manuel Merck à propos de ce phénomène qualifié de trouble psychiatrique :
« Bien que des chiffres précis manquent, on estime qu’entre 0,005 et 0,014% des hommes selon le sexe de naissance et 0,002 à 0,003% des femmes selon le sexe de naissance correspondent aux critères diagnostiques de la dysphorie de genre selon le Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, Fifth Edition (DSM-5). Beaucoup plus d’individus se définissent comme transgenres, mais ne répondent pas aux critères de la dysphorie de genre. » (Soulignements ajoutés)
Comment expliquer alors l’augmentation « spectaculaire » du nombre d’adolescentes qui souhaitent changer de sexe?
Le livre d’Abigail Shrier nous apprend qu’en « 2016-2017, aux États-Unis, les interventions en chirurgie transgenre sur des jeunes femmes ont été multipliées par quatre et il en va de même au Royaume-Uni. »
La journaliste attribue la hausse fulgurante de ce phénomène à la « contagion sociale », née d’une « stratégie militante mêlant lobbying, réseaux sociaux et intimidation », stratégie à laquelle participe le système d’éducation. Elle dénonce l’exploitation du « mal-être adolescent » et les interventions chirurgicales expérimentales proposées pour y remédier.
Réflexion toute personnelle : si j’étais préadolescente aujourd’hui, serais-je en proie à cette idéologie du transgenrisme? Possiblement.
Je n’ai pas du tout accueilli à bras ouverts la transformation de mon corps d’enfant en corps de femme. Menstruée à 10 ans, il m’a fallu quelques années avant d’accepter que je devenais une femme. Non seulement je n’étais pas prête à vivre cela en 6e année, en plus mes règles étaient extrêmement abondantes et douloureuses et j’ai mis des années à trouver le remède à ces douleurs atroces.
Et que dire du moment où j’ai dû me résigner à porter un soutien-gorge! Je ne crois pas être la seule à avoir porté quelques épaisseurs pour que les garçons ne puissent pas le voir et tirer dessus dans mon dos pour que ça pince et que ça me gêne, devant tout le monde.
Si je n’ai pas l’habitude de livrer ma vie personnelle en pâture à la meute de trolls qui guettent chacune de mes paroles, je trouvais nécessaire de le faire dans ce contexte afin de donner un exemple, un fait vécu de ce mal-être de l’adolescence, de cette transformation indésirable du corps.
Et vous? Avez-vous vécu ce mal-être et seriez-vous une proie facile de l’activisme woke si vous aviez à le revivre aujourd’hui?
Ce mal-être fait partie de la vie, et ce corps de femme, j’ai dû l’apprivoiser avant de l’accepter, puis, de le chérir.
Notre société actuelle semble davantage encline à rejeter ce rite de passage qu’à l’épouser.
La réflexion et, surtout, la discussion sur le militantisme transgenre s’impose, et le débat doit s’élever au-delà des dialogues de sourds, des insultes et des étiquettes de transphobie.
Le livre d’Abigail Shrier semble être un bon point de départ à une réflexion saine et nécessaire.
Autre suggestion de lecture sur le livre de Shrier, l’article du blog Pour une école libre au Québec : « Ados transgenres, des dégâts irréversibles ».
Ce blog, « voué à la promotion d’une véritable liberté scolaire au Québec, pour une diversité de programmes, pour une plus grande concurrence dans l’enseignement », offre de nombreux articles au sujet du transgenrisme.
Je vous suggère également l’article publié aujourd’hui : « Les femmes alimentent le wokisme sur les campus et dans la société ».
Ce blog anonyme met de l’avant des idées conservatrices, offre une alternative au discours woke et un point de vue différent de ce qu’on lit régulièrement dans les grands médias. Les articles sont très bien écrits, bien documentés et valent le détour, quelle que soit votre orientation politique.
Étant donné le climat social actuel, l’auteure de ces lignes tient à souligner qu’elle a un long passé de militante gauchiste et qu’elle est tout à fait favorable à la diversité et à l’inclusion. Contrairement à la nouvelle gauche radicale et intolérante, elle prône la tolérance envers les idées conservatrices auxquelles elle n’adhère pas forcément, mais qui la rejoignent de temps à autre.
Elle est surtout contre la culture malsaine du bannissement.
On est pour la tolérance, le désaccord et la liberté d’expression ou on ne l’est pas.
N’hésitez pas à offrir dans les commentaires vos propres suggestions de lecture sur le sujet, surtout si elles vont à l’encontre des lectures proposées ci-dessus.
Merci Julie, je viens de regarder et lire les infos et vidéos. Pas facile parfois de regarder tout ce qui se passe et se dit! Je dois, parfois, prendre un break de tous les réseaux sociaux pour me poivoir me rééquilibrer! Qu’en est-il de la FDDLP et levsti de gouverne qui ment et la modification faite le 29 décembre dernier sur la loi C28 ( je crois). Il me semble que ceci devait repasser devant juge!
Merci et au plaisir de te lire.
Nicole
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Merci Nicole! On attend toujours le jugement.
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