Masques, vitamine D et injections: 3 études récentes donnent raison aux «complotistes»

Illustration de Brian Wang

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Plusieurs études publiées depuis le début de l’année 2023 semblent avoir été ignorées par le milieu médiatique québécois. Est-ce parce qu’elles donnent raison à ceux qu’ils ont traités de complotistes et de coucous?

Voici trois études qui mettent fin à plusieurs questionnements sur les masques, la vitamine D et les injections, ainsi que leur analyse par trois médecins anglo-saxons hautement qualifiés pour en parler.

1. Les masques : « peu ou pas utiles dans la communauté »

Le 30 janvier 2023, la réputée Cochrane Library a publié une méta-analyse qui conclut que les masques « sont peu ou pas utiles dans la communauté » pour lutter contre la transmission des virus respiratoires. Cela comprend les masques de procédures et les N95, que l’on disait plus efficaces.

Physical interventions to interrupt or reduce the spread of respiratory viruses (Interventions physiques pour interrompre ou réduire la propagation des virus respiratoires) confirme ce que disait l’étude du professeur à la retraite Denis Rancourt, Masks don’t work, publiée en avril 2020, et ce qu’ont affirmé à maintes reprises les Drs. Horacio Arruda et Anthony Fauci au début de la crise : les masques ne protègent pas dans la communauté.

L’étude de 326 pages est résumée par le Dr. Vinay Prasad dans sa publication sur Substack, The Cochrane Review on Masks is Damning (L’étude de Cochrane sur les masques est accablante). Le sous-titre en dit long : « Il n’y a pas de bonnes données pour appuyer le port du masque – C’est une religion, pas de la science ».

Vinay Prasad MD MPH est hématologue-oncologue et professeur au Département d’épidémiologie et de biostatistique de l’Université de Californie à San Francisco, selon la description sur son site web, vinayakkprasad.com.

2. Vitamine D

Le 16 janvier 2023, des chercheurs italiens ont publié une étude concluante sur la vitamine D, Protective Effect of Vitamin D Supplementation on COVID-19-Related Intensive Care Hospitalization and Mortality: Definitive Evidence from Meta-Analysis and Trial Sequential Analysis, (Effet protecteur de la supplémentation en vitamine D sur l’hospitalisation et la mortalité en soins intensifs liées au COVID-19 : preuves définitives issues de la méta-analyse et d’analyses séquentielles d’essais).

Les chercheurs concluent de manière non équivoque :

« L’administration de vitamine D entraîne une diminution du risque de décès et d’admission en soins intensifs (différence moyenne standardisée (IC à 95 %) : 0,49 (0,34-0,72) et 0,28 (0,20-0,39), respectivement). L’analyse séquentielle d’essais sur le rôle protecteur de la vitamine D et l’admission en réanimation a montré que, puisque le regroupement des études a atteint une taille d’échantillon définie, l’association positive est concluante. » (Soulignements ajoutés)

Les auteurs écrivent ceci dans l’introduction :

« Diverses études ont trouvé une association entre une carence sévère en vitamine D et les résultats liés à la COVID-19. La vitamine D joue un rôle crucial dans la fonction immunitaire et l’inflammation. Des données récentes ont suggéré un rôle protecteur de la vitamine D dans les résultats de santé liés à la COVID-19. » (Soulignements ajoutés)

Rappelons que dans un document du 10 mai 2020, COVID-19 – Particularités gériatriques – Guide de soins et revue de la littérature du Département de médecine, Gériatrie, Centre Hospitalier de l’Université de Montréal, on recommandait de CESSER de donner de la vitamine D aux aînés :

Les auteurs, Philippe Desmarais, MD, FRCPC, MHSc et Quoc Dinh Nguyen, MD, MA, MPH, FRCPC, Ph.D (c) ont fait cette recommandation dans le but de limiter les contacts. Il s’avère que cette décision était mauvaise. Combien d’aînés en ont souffert?

Au sujet de l’étude italienne, il convient d’écouter le Dr. John Campbell, professeur de soins infirmiers à la retraite en expliquer les grandes lignes :

« Nous savons maintenant que la supplémentation en vitamine D procure des bienfaits considérables en ce qui a trait à la réduction du risque d’admission aux soins intensifs durant la pandémie de coronavirus. Cette réduction est probablement de 72 %, ce qui est certainement considérable. La vitamine D offre probablement aussi une protection de 51 % contre les décès. »  (Soulignements ajoutés)

3. Les injections « anticovid »

L’étude Rethinking next-generation vaccines for coronaviruses, influenzaviruses, and other respiratory viruses (Repenser les vaccins de nouvelle génération contre les coronavirus, les virus de la grippe et d’autres virus respiratoires) a été coécrite par nul autre qu’Anthony Fauci, pilote de la réponse des autorités sanitaires étasuniennes au SRAS-CoV-2.

Les auteurs confirment l’inefficacité des injections qui ont fait l’objet d’une religion médicale sans précédent :

« Les virus qui se répliquent dans la muqueuse respiratoire humaine sans infecter de manière systémique, notamment la grippe A, le SRAS-CoV-2, les coronavirus endémiques, le VRS et de nombreux autres virus du « rhume », entraînent une mortalité et une morbidité importantes et constituent d’importants problèmes de santé publique. Étant donné que ces virus ne provoquent généralement pas par eux-mêmes une immunité protectrice complète et durable, ils n’ont pas été efficacement contrôlés à ce jour par des vaccins homologués ou expérimentaux. » (Soulignements ajoutés)

Ils affirment aussi cependant que les « vaccins anticovid » ont sauvé d’innombrables vies, ce qui reste à démontrer puisque, même sous-rapportés, les innombrables effets secondaires importants de ces injections expérimentales, incluant la mort, indiquent plutôt le contraire. Voir mes nombreux articles à ce sujet : https://tribunaldelinfaux.com/?s=effets+secondaires

Loin de remettre en question la pertinence de la vaccination, cette étude en admet tout de même les ratés, comme on peut le constater dans la conclusion :

« Les vaccins durablement protecteurs contre les virus respiratoires muqueux non systémiques avec des taux de mortalité élevés ont jusqu’à présent échappé aux efforts de développement de vaccins. » (Soulignements ajoutés)

Il convient de rappeler une étude financée par le National Institute on Aging aux États-Unis parue en avril 2020 : The Effect of Influenza Vaccination for the Elderly on Hospitalization and Mortality: An Observational Study With a Regression Discontinuity Design (L’effet de la vaccination contre la grippe pour les personnes âgées sur l’hospitalisation et la mortalité : une étude observationnelle avec un plan de discontinuité de régression).

L’étude portait sur une population d’adultes âgés de 55 à 75 ans résidant en Angleterre et aux Pays de Galles entre 2000 et 2014, et a donné les résultats suivants :

« Résultats : Les données comprenaient 170 millions d’épisodes de soins et 7,6 millions de décès. L’âge de 65 ans était associé à une augmentation statistiquement et cliniquement significative du taux de vaccination contre la grippe saisonnière. Cependant, aucune preuve n’indique que la vaccination réduise les hospitalisations ou la mortalité chez les personnes âgées. Les estimations étaient suffisamment précises pour exclure les résultats de nombreuses études antérieures. » (Soulignements ajoutés)

AUCUNE preuve que la vaccination contre la grippe « réduit les hospitalisations ou la mortalité chez les personnes âgées ».

En ce qui concerne l’étude écrite par le Dr. Fauci, le Dr. Scott Jensen la vulgarise très bien et souligne qu’« enfin, Dr. Fauci pose la question à un million de dollars ». Il cite à cet effet ce passage de l’étude :

« Compte tenu de tous ces facteurs, il n’est pas surprenant qu’aucun des virus respiratoires à prédominance muqueuse n’ait jamais été efficacement contrôlé par des vaccins. Cette observation soulève une question d’importance fondamentale : si les infections virales respiratoires des muqueuses naturelles ne provoquent pas une immunité protectrice complète et à long terme contre la réinfection, comment pouvons-nous attendre des vaccins, en particulier des vaccins non réplicatifs administrés par voie systémique, qu’ils le fassent ? Il s’agit d’un défi majeur pour le développement futur de vaccins, et il est essentiel de le surmonter alors que nous travaillons au développement de vaccins de « nouvelle génération ». (Soulignements ajoutés)

Voici la vidéo du Dr. Jensen, médecin fondateur et président de la Catalyst Medical Clinic, ainsi que professeur adjoint de médecine familiale à l’Université du Minnesota :

Ma question à 100 milliards de dollars, soit le montant des revenus de Pfizer pour 2022, est la suivante : s’il n’est « pas surprenant qu’aucun des virus respiratoires à prédominance muqueuse n’ait jamais été efficacement contrôlé par des vaccins », pourquoi les autorités médicales ont-elles affirmé avec conviction que la population serait immunisée avec deux doses au début de la campagne de « vaccination » et pourquoi a-t-on fait fi de toutes les règles d’éthique qui guident la pratique médicale depuis l’existence du code de Nuremberg?

Le premier article de ce code se lit comme suit :

« 1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir : qu’elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle, afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision. Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience. L’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l’initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à cette personne, qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie. » (Soulignements ajoutés)

En 2023, les preuves sont accablantes et il est indéniable que non seulement les autorités politiques, médiatiques, mais surtout médicales ont fait usage de fraude, de contrainte, de duperie et de coercition pour amener la population à se faire injecter un produit expérimental discrédité aujourd’hui par ses plus ardents propagandistes, que l’on pourrait qualifier de gourous, comme Anthony Fauci et Bill Gates, qui non seulement n’a aucune qualification pour s’exprimer sur les questions de santé publique, mais qui en plus est en total conflit d’intérêt. (Voir les 5 textes sur Bill Gates ici : https://tribunaldelinfaux.com/?s=Bill+gates)

Bill Gates, qui au début de la crise prônait la vaccination de la population mondiale, a récemment admis au Lowy Institute en Australie qu’il faut régler les trois problèmes des injections « anticovid » :

À 15 secondes, Gates dit :

« Les vaccins actuels n’empêchent pas l’infection, ils n’ont pas une grande portée – donc lorsque de nouveaux variants apparaissent, on perd de la protection – et ils ont une durée très courte. »  

Gates a bien sûr vendu ses actions très lucratives de BioNTech avant de reconnaître l’échec du produit, comme on peut le constater dans cet article de Jordan Schachtel, Bill Gates secured hundreds of millions in profits from mRNA stock sales before suddenly changing tune on vaccine technology (Bill Gates a obtenu des centaines de millions de bénéfices grâce à la vente d’actions d’ARNm avant de changer soudainement de ton sur la technologie des vaccins), preuves de la Securities and Exchange Commission (SEC) à l’appui.

Schachtel écrit que la Fondation Gates a acheté les actions de BioNTech à 18,10 dollars en 2019 et les a revendues environ 300 dollars à la fin de l’année 2021, ce qui lui aurait rapporté 260 millions de dollars, dont 242 millions à l’abri de l’impôt :

« Lors de la vente du troisième trimestre 2021, la Fondation Gates a obtenu un rendement de plus de 15 fois supérieur à son investissement initial. »

Selon les animateurs de l’émission mainstream Rising (vidéo ci-dessus), l’investissement initial de 50 millions de dollars en 2019 avait bondi à 550 millions de dollars lorsque Gates a vendu ses actions.

L’image ci-dessous montre le succès fulgurant de BioNTech en bourse :

Le fait que Bill Gates ait pu s’exprimer librement sur des questions de santé publique alors que des médecins hautement qualifiés étaient censurés pour leurs propos critiques de la vaccination a certainement contribué à faire fructifier ses investissements.

Il en va de même des interventions de Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial et partenaire de la Fondation Gates dans la simulation de pandémie Event 201, menée en octobre 2019 et dont les recommandations, rappelons-le, comprenaient la « lutte à la désinformation », dans laquelle les médias avaient un rôle d’inquisition.

Ces derniers étaient incités à favoriser les informations provenant des autorités et à supprimer tout ce qui les contredisaient, c’est-à-dire ce qu’ils qualifient de « désinformation » :

« Pour leur part, les entreprises médiatiques devraient s’engager à faire en sorte que les messages faisant autorité soient priorisés et que les faux messages soient supprimés, y compris par l’utilisation de la technologie. »

Klaus Schwab, devenu un véritable prophète de malheur depuis 2020, est même allé jusqu’à dire que « tant que la planète entière ne sera pas vaccinée, personne ne sera en sécurité » :

Cela dit, les meilleures preuves de fraude et de duperie sont sans aucun doute dans les documents mêmes de Pfizer que la FDA souhaitait garder hors de la vue du commun des mortels durant 75 ans. Ils sont exposés et analysés par plus de 3500 experts dans le récent livre Pfizer Documents Analysis Reports.

Lorsque l’on voit ce qu’il y a dans ces documents, on comprend rapidement pourquoi la FDA voulait qu’ils demeurent confidentiels durant 75 ans.

Nombreux sont les experts qui clament haut et fort qu’il s’agit du plus grand scandale médical, voire du plus grand crime contre l’humanité de l’Histoire.