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La version préliminaire d’un article révisé par les pairs publié dans la revue Nature montre des mutations du SRAS-CoV-2 associées au molnupiravir de Merck, « un médicament antiviral largement utilisé contre le SRAS-CoV-2 ».
Dans l’article intitulé « A molnupiravir-associated mutational signature in global SARS-CoV-2 genomes » (Une signature mutationnelle associée au molnupiravir dans les génomes mondiaux du SRAS-CoV-2), les auteurs expliquent comment le molnupiravir « agit en induisant des mutations dans le génome du virus lors de la réplication » et quelles en sont les conséquences :
« La plupart des mutations aléatoires sont susceptibles d’être délétères pour le virus, et beaucoup seront mortelles, de sorte que les taux de mutation élevés induits par le molnupiravir réduisent la charge virale. Cependant, si certains patients traités par le molnupiravir ne guérissent pas complètement de l’infection par le SRAS-CoV-2, il pourrait y avoir un risque de transmission ultérieure de virus mutés par le molnupiravir. Nous montrons ici que les bases de données de séquençage du SRAS-CoV-2 contiennent de nombreuses preuves de mutagenèse du molnupiravir […]
[U]ne forte proportion de mutations [..] apparaissent presque exclusivement dans des séquences à partir de 2022, après l’introduction du traitement par molnupiravir, et dans les pays et les groupes d’âge où l’usage du médicament est répandu. » (Soulignements ajoutés)

D’une part, les auteurs évoquent un « risque de transmission ultérieure de virus mutés par le molnupiravir » et, de l’autre, on affirme qu’il y a «de nombreuses preuves de mutagenèse du molnupiravir » dans le séquençage du SRAS-CoV-2.
De ce langage nuancé au point de devenir contradictoire, un non-expert comprend que le SRAS-CoV-2 contient des mutations induites par le molnupiravir.
Les auteurs affirment à la fin du résumé avoir « confirmé une association directe entre ces [mutations] élevées et l’utilisation du molnupiravir ».
Il est possible de lire les commentaires des réviseurs de l’article et les réponses des auteurs ici :
Un des réviseurs de l’article écrit ceci :
« Il s’agit d’une analyse opportune et bien menée qui met en évidence une tendance inquiétante de virus hypermutés causés par l’entrée en circulation du molnupiravir dans la population en général. Cela comporte le risque d’accélérer l’évolution de nouvelles lignées virales. Que la transmission des variants détectés n’ait été que de courte durée n’est qu’un signe légèrement réconfortant.
Les preuves présentées dans le document sont irréfutables. » (Soulignements ajoutés)
Un autre réviseur est plutôt d’avis que :
« Bien que certaines des preuves indirectes (moment, association de la disponibilité du molnupiravir avec les hypermutations) soient suggestives, elles ne suffisent pas à tirer des conclusions solides. »
Ce à quoi les auteurs répondent que « le manuscrit révisé contient de nombreuses autres preuves d’un lien avec le molnupiravir ».
Approuvé malgré les craintes de mutations
La possibilité que ce médicament provoque de nouveaux variants avait pourtant été évoquée par des membres du panel de la Food and Drug Administration (FDA) en 2021, rapportait CNBC à l’époque :
« Le molnupiravir agit en incitant le virus responsable de la covid à muter et à produire des erreurs inhibant sa capacité à se répliquer et à se propager. Cependant, certains médecins et scientifiques craignent que cela puisse également permettre au virus de muter d’une manière qui rendrait les vaccins et les traitements moins efficaces. » (Soulignements ajoutés)
Le réviseur senior en virologie de la FDA, Patrick Harrington, avait admis « qu’il n’était pas clair si des changements dans la protéine de pointe associée au molnupiravir pourraient avoir un impact substantiel sur l’évolution du virus de manière plus large ».
« Pour que le molnupiravir affecte l’évolution du SRAS-CoV-2 au-delà d’un individu traité, les variants devraient également être transmissibles, et, pour le moment, nous ne savons pas si cela est possible de manière significative », avait-il ajouté.

Le molnupiravir avait été approuvé « de justesse », malgré une efficacité de 30 % et des questions sur son innocuité, surtout en ce qui concerne les maladies congénitales :
« La FDA et Merck ont toutes deux recommandé de ne pas utiliser ce médicament chez les enfants et les femmes enceintes. Le molnupiravir s’est révélé mortel pour les embryons de rats gravides, provoquant également des malformations congénitales et réduisant le poids corporel du fœtus. Cela a également provoqué d’autres défauts qui ont interféré avec la croissance osseuse chez les jeunes chiots, ainsi que d’autres anomalies, selon les données. » (Soulignements ajoutés)
Le molnupiravir est fabriqué chez nous, en Ontario.
Cela explique probablement en partie pourquoi on a dénoncé la lenteur de Santé Canada dans l’approbation de ce médicament, comme on peut le constater dans cet article de La Presse de février 2022, « Fabriqués ici, exportés à l’étranger » :
« “On s’explique mal la lenteur de Santé Canada à approuver le médicament. Depuis le début de la pandémie, on constate que Santé Canada a fait preuve de lenteur dans l’approbation des vaccins et dans l’approbation des tests rapides, si on compare la situation avec les États-Unis et la Grande-Bretagne. C’est visiblement une habitude chez cette agence, même si nous sommes dans un état d’urgence depuis deux ans”, s’est désolée une source bien au fait du dossier qui a requis l’anonymat parce qu’elle n’était pas autorisée à en parler publiquement. » (Soulignements ajoutés)

Le chef de la direction du Conseil du patronat du Québec, Karl Blackburn, avait affirmé à l’époque :
« Ce retard est inutile dans le contexte actuel. Plus on a de plans de traitement de la COVID-19, mieux ce sera pour l’économie et notre système de santé. »
Cette découverte selon laquelle le molnupiravir serait à l’origine de variants vient justement démontrer les risques que comportent des évaluations accélérées de médicaments.
Un danger de mutations provoquées par la vaccination de masse en pleine épidémie avait par ailleurs été évoqué par le virologue Geert Vanden Bossche, qui craignait l’échappement immunitaire, danger aussitôt démenti par les fact-checkers.
Il était « complètement faux » de prédire que « le fait de vacciner crée une pression de sélection sur le virus, qui l’“inciterait” d’une certaine manière à muter afin d’échapper aux anticorps que le vaccin nous fait produire », écrivait en mars 2021 Jean-François Cliche du Soleil.
Dans un article de l’AFP publié le même jour sur le même sujet, le professeur en immunopathologie Michel Moutschen y allait de l’analogie suivante :
« Si vous mettez tous les jours une toute petite quantité d’insecticide sur une fourmilière, vous allez tuer quelques pourcentages des fourmis et ensuite, certaines fourmis vont devenir très résistantes à l’insecticide. Alors que si vous mettez une grosse quantité d’un coup les mutants ne pourront jamais survivre […]
Les vaccins sont donc précisément un moyen efficace de réduire cette opportunité pour le virus de développer ses mutations ».
Deux ans et demi plus tard, la liste des variants comprend : Bêta, Gamma, Mu, Êta, Iota, Epsilon, Kappa, Delta, ainsi qu’Omicron et ses multiples sous-variants, considérés comme « préoccupants » :

L’autorisation d’urgence de « vaccins » ni sûrs ni efficaces
Cette étude sur le produit de Merck a été publiée à peine quelques jours après la divulgation des contrats des injections covid de Pfizer avec l’Afrique du Sud, datés du 30 mars 2021, où il est écrit noir sur blanc à la page 21 que le fabricant ne peut garantir ni l’efficacité ni l’innocuité de ses injections :
« L’Acheteur reconnaît que le Vaccin et le matériel lié au Vaccin, ainsi que leurs composants et matériaux constitutifs, sont mis au point rapidement en raison des circonstances d’urgence de la pandémie de COVID-19 et qu’ils continueront d’être étudiés après la fourniture du Vaccin à l’Acheteur en vertu de la présente entente. L’Acheteur reconnaît en outre que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas encore connus et qu’il pourrait y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas encore connus. » (Soulignements ajoutés)
Contrats de Pfizer avec l’Afrique du Sud en anglais :
Contrats de Pfizer avec l’Afrique du Sud en français :
Cette révélation s’ajoute à celle de l’avocat Shawn Buckley lors de son témoignage à la Commission d’enquête nationale citoyenne (CeNC) à propos de la réglementation canadienne concernant les injections covid.
(Cliquer sur la photo pour regarder la vidéo.)

Le rapport préliminaire de la CeNC, publié le 14 septembre, demande l’arrêt immédiat de l’utilisation de ces injections puisque leur innocuité et leur efficacité n’ont pas été évaluées par les autorités, lesquelles ont menti à la population en affirmant que les injections étaient « sûres, efficaces et de grande qualité » :
« L’autorisation initiale de tous les vaccins contre la COVID-19 a été donnée par une ordonnance temporaire, ce qui exemptait les manufacturiers de la réglementation traditionnelle qui exige qu’ils fournissent des preuves objectives de leur sécurité et de leur efficacité. Il en a résulté que pendant que les responsables de la santé publique partout au pays répétaient aux Canadiens que les vaccins étaient « sûrs et efficaces », la population canadienne en général n’était pas au courant que leur processus d’autorisation ne requérait pas de preuves objectives de leur sécurité ni de leur efficacité.
[…]
L’ordonnance provisoire du gouvernement du Canada requérait que Santé Canada approuve les vaccins contre la COVID-19 sans preuves de sécurité et d’efficacité, ce qui a fait en sorte que des millions de Canadiens ont pris un nouveau médicament dont la sécurité et l’efficacité étaient inconnues.
Le résultat malheureux d’avoir autorisé les vaccins contre la COVID-19 par l’ordonnance provisoire (plutôt que par le processus d’approbation traditionnel du Règlement) a été révélé dans les témoignages de la CeNC : de nombreux Canadiens ont été blessés ou tués, et dans le même temps, on a découvert que le vaccin contre la COVID-19 ne pouvait pas prévenir l’infection et la transmission ni réduire la sévérité de la maladie. Avec le recul, il est clairement démontré que les tests traditionnels du Règlement sont nécessaires pour l’approbation de tous les nouveaux médicaments et que le Canada ne devrait pas autoriser de médicaments par ordonnance provisoire, même en contexte de crise de santé publique. » (Soulignements ajoutés)
Le 18 septembre, les dirigeants du Collège des médecins du Québec, de l’Institut national de santé publique (INSPQ), de l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS) et du Conseil interprofessionnel du Québec on d’ailleurs reçu par huissier une lettre dont le titre dit tout : La plus grande crise de l’histoire en matière de santé au Québec: l’injection massive des « vaccins » géniques expérimentaux?
Les 584 signataires, incluant de nombreux professionnels de la santé, recommandent, entre autres, une enquête publique et l’interdiction de « l’utilisation de vaccins géniques à ARNm chez les enfants et les femmes enceintes. »
Toutes ces révélations et ces initiatives citoyennes démontrent que les institutions censées protéger la population ont lamentablement échoué à leur tâche, ou comme le dit si bien la lettre ci-dessus, ils ont été les « témoin[s] silencieux de leur propre dérive ».
Il est tout de même surprenant voire inquiétant que les gouvernements en toute connaissance de cause remettre en place une campagne d’injections. C’est doublement criminel!
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En effet! Tant que les médias ne posent pas de questions, le cirque continue!
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