Brigitte Noël: La veuve noire de Radio-Canada

La veuve noire est « une araignée au venin puissant ».

Brigitte Noël aussi a un venin puissant et elle s’en sert (payée avec vos impôts) pour détruire les réputations des critiques de Big Pharma. Sa partialité aveuglante et son manque d’ouverture criant rendent sa mission manifeste.

Intellectuellement malhonnête ou simplement incompétente, la veuve noire de Radio-Canada?

L’auteure de ces lignes vous laisse en juger par vous-même.

Chose certaine, elle piétine les valeurs fondamentales du journalisme et ne respecte pratiquement aucune des normes et pratiques de la société d’État.

Son venin nuit à la cohésion sociale.

Voici une plainte intégrale (incluant ses erreurs) contre cette chasseuse de sorcières qui n’a pas répondu à ma demande d’entrevue.

Vous pouvez rejoindre l’ombudsman à l’adresse ci-dessous ou par :

Courriel : ombudsman@radio-canada.ca
Téléphone : 514 597-4757
Télécopieur : 514 597-5253

Merci à tout ceux qui appuient mon travail! Vos dons servent à lutter contre la machine à tuer la pensée critique!

Par PayPal : paypal.me/tribunaldelinfaux

Par courriel : tribunaldelinfaux@gmail.com (réponse : tribunal)

Merci aussi à ceux qui partagent, ça aide à contrer le « shadowban » de Facebook!

***

Montréal, le 1er juin 2022

Pierre Champoux
Bureau de l’ombudsman
Radio-Canada
Case postale 6000
Montréal (Québec) Canada H3C 3A8

Objet : Plainte contre les articles de Brigitte Noël sur Bernard Lachance

Monsieur Champoux,

Il y a énormément de manquements à l’éthique journalistique dans les articles de Brigitte Noël, principalement ceux qui concernent Bernard Lachance. Mme Noël agit davantage comme l’avocate sans vergogne de la famille Lachance et la promotrice de cette idée aussi ridicule que dangereuse du « consensus scientifique », une idée aux antipodes de l’esprit scientifique et qui n’est rien d’autre qu’un épouvantail intellectuel servant d’échappatoire à tous ceux qui fuient les débats.

Les articles de Mme Noël sur Bernard Lachance enfreignent de nombreuses normes et pratiques de Radio-Canada et vont à l’encontre de sa mission affichée qui est de servir l’intérêt public, de refléter la diversité et d’agir de façon responsable. Mme Noël ne respecte pas non plus vos principes d’exactitude, d’équité, d’équilibre et d’impartialité : elle discrimine et méprise ouvertement des personnes qui osent déroger de la norme au point de donner l’impression qu’elle s’est fait un devoir de ruiner les réputations des personnalités anticonformistes qui rejettent les discours véhiculés par les grands médias québécois.

Au cours des deux dernières années, Mme Noël a fait la démonstration de son incapacité à exercer son métier dans le respect, l’ouverture d’esprit, l’honnêteté et la sobriété que lui commandent les valeurs fondamentales de sa profession, en étalant simultanément dans toute sa splendeur son esprit malveillant et son objectif non affiché mais néanmoins aveuglant : diffamer et discriminer sur la base des convictions politiques et des croyances spirituelles, des motifs interdits de discrimination dans la Charte québécoise des droits et libertés de la personne.

Servir l’intérêt public ou celui des pharmaceutiques? 

Radio-Canada prétend avoir pour mission de « servir l’intérêt public » :

« Notre mission est d’informer, de révéler des faits, de contribuer à la compréhension d’enjeux d’intérêt public et d’encourager la participation des Canadiens à notre société libre et démocratique », dites-vous sur votre page des Normes et pratiques journalistiques.

Brigitte Noël ne contribue d’aucune manière à cette mission. Elle lui nuit.

Brigitte Noël, dans son reportage « Antivaccin : le doute à forte dose », auquel Mel Goyer et l’auteure on riposté ici.

Dans son article Derniers jours de Bernard Lachance : de l’eau salée pour soigner l’ex-chanteur, publié le 2 juin 2021, elle et son co-auteur donnent l’impression que les amis de Bernard Lachance ne lui ont jamais recommandé d’aller à l’hôpital. C’est faux.

Elle perpétue ce mensonge depuis un an à travers les propos des sœurs de Bernard, Marie-Claude et Lise Lachance, lesquelles n’avaient plus de contacts avec leur frère depuis 6 ans. Il est facile de comprendre la douleur inestimable que représente la perte d’un frère, cependant les sœurs Lachance sont convaincues de bien des choses qui ne sont pas vraies et que la journaliste ne remet pas en question. Il se dégage ainsi des articles sur Bernard Lachance une forte impression de haine commune des « mentors complotistes » et de bénéfice mutuel à les détruire.

L’article présente également la compréhension que M. Lachance avait du sida comme des « théories du complots », sans jamais mentionner un seul des experts cités sur son site au nom prophétique dédié à ses années de recherche, sidacensure.com.

C’est une des fâcheuses habitudes de Mme Noël : qualifier des propos de « théories du complot » sans jamais les présenter de manière intellectuellement honnête et démontrer en quoi ils sont des théories du complot.

Par exemple, dans Une doctrine dangereuse, elle écrit :

« […] Guylaine Lanctôt explique que c’est lors d’une conférence en France, en 1992, qu’elle découvre le mouvement antivaccin, quoique des proches nous racontent que son virage conspirationniste était déjà bien entamé. »

La journaliste insinue que les personnes qui questionnent la vaccination sont nécessairement antivaccins et conspirationnistes. Mme Noël, elle, est résolument pro-vaccin, ne montre aucune ouverture à l’autre point de vue et est visiblement incapable d’aborder ce sujet sans faire l’étalage de ses préjugés. Elle semble se faire un devoir d’inculquer cette croyance, car il s’agit bien d’une croyance, que les personnes qui critiquent la vaccination sont des conspirationnistes, donc des gens qui ne sont pas rationnels et dont les choix ne reposent pas sur « la science ».

Les croyances de Mme Noël et leur propagation, aux frais des contribuables, sur le site web de la société d’État, profitent à l’industrie pharmaceutique, pas à « la compréhension d’enjeux d’intérêt public ».

Affirmer des choses sans les démontrer et présenter des personnes de manière péjorative sont des tactiques courantes en politique. Toutefois, ces tactiques sont aux antipodes de la démarche journalistique. Cette attitude n’aide pas le citoyen à comprendre, elle fait tout le contraire : les gens répètent cette association que fait Mme Noël, mais ne peuvent expliquer pourquoi ils font cette association. Probablement que Mme Noël en est, elle aussi, incapable.

Brigitte Noël se contente aussi dans ses articles de consulter le Dr Réjean Thomas, le médecin de référence pour tous les médias québécois lorsqu’il est temps de parler sida. En quoi le fait de présenter un seul côté d’une médaille, toujours avec le même intervenant, contribue-t-il « à la compréhension d’enjeux d’intérêt public »? De quelle manière un article qui diabolise un groupe de personnes qui questionnent le système et l’industrie pharmaceutique tout en glorifiant le groupe qui tient le discours de l’establishment et de l’industrie encourage-t-il « la participation des Canadiens à notre société libre et démocratique »?

Les articles de Brigitte Noël encouragent plutôt à la conformité et à la croyance aveugle, qui sont les outils des dictatures.

L’article de Mme Noël, Derniers jours de Bernard Lachance : de l’eau salée pour soigner l’ex-chanteur, ne montre qu’un seul côté de l’affaire et elle ne peut pas se défendre en disant qu’elle a demandé une entrevue à ceux qu’elle avait l’intention de faire mal paraître avant même de les avoir contactés. Ceux qu’elle qualifie de « complotistes » savent depuis longtemps que Mme Noël les contacte uniquement pour les salir, cela se voit dans ses demandes d’entrevue agressives et criantes de partialité.

Son attitude avec Alexis Cossette-Trudel, Jean-Jacques Crèvecoeur, Amélie Paul, Guylaine Lanctôt et d’autres ne laisse plus aucun doute : Brigitte Noël est indéniablement mue par une intention de nuire et non pas d’apprendre, de comprendre ou d’informer sans préjugés.

D’ailleurs, elle semble vouloir instrumentaliser la mort de Bernard Lachance à cette fin, procurant par la bande à la famille Lachance une douce vengeance contre ceux et celles qui étaient véritablement proches de leur frère. La haine qui se dégage de leurs propos est palpable, et Brigitte Noël s’en fait le porte-voix.

Avec sa série d’articles portant sur la mort de Bernard Lachance, Mme Noël s’est transformée en mercenaire de la famille Lachance et en promotrice du discours unique sur le sida, lequel rapporte des milliards à l’industrie pharmaceutique.

Reflet de la diversité et principe d’exactitude

La deuxième mission de Radio-Canada est pourtant de « refléter la diversité » :

« Nous tenons à refléter fidèlement l’ensemble des expériences et des points de vue des Canadiens. Nous devons présenter des informations pertinentes à tous les citoyens, quelles que soient leurs origines, leurs perspectives et leurs croyances, tout en demeurant fidèles à nos principes. » (Soulignements ajoutés)

De toute évidence, il existe des perspectives et des croyances qui dérangent Mme Noël au point de les présenter de manière extrêmement et exclusivement négative, par un processus malhonnête de sélection et d’omission de l’information.

Dès le début de l’article, Derniers jours de Bernard Lachance : de l’eau salée pour soigner l’ex-chanteur, la mise en contexte est biaisée et la partialité de Brigitte Noël et son co-auteur Emmanuel Marchand est flagrante :

« Avant sa mort, l’artiste s’était soumis à plusieurs traitements naturels pour se “détoxifier” de sa trithérapie. Sa famille croit que ces traitements alternatifs ont donné à Bernard Lachance, séropositif, de faux espoirs, et que ses mentors conspirationnistes l’ont influencé dans son rejet de la médecine conventionnelle. »

Le lecteur est incité à croire, avant même de connaître leurs noms, que les personnes qui seront visées tout au long de l’article sont des « mentors conspirationnistes » qui ont influencé Bernard Lachance à rejeter la médecine conventionnelle et à cesser ses traitements.

Or, rien n’est plus faux puisque M. Lachance a cessé ses traitements avant de connaître Guylaine Lanctôt et Amélie Paul. Mme Noël affirme que M. Lachance a cessé ses traitements en 2017, ce qui est juste, mais elle écrit ensuite qu’elle a consulté « les courriels de Bernard Lachance, qui révèlent une première mention d’une vidéo de Guylaine Lanctôt en mai 2017, soit quelques mois avant que l’homme séropositif ne cesse sa trithérapie », ce qui suggère fortement que sa décision de cesser sa thérapie est due à Mme Lanctôt, ce qui est faux.

Par ailleurs, la sœur de Bernard, Marie-Claude, dit du même souffle dans la vidéo complémentaire à l’article, que Bernard est une « esti de tête de cochon » et qu’elle a « la certitude qu’il s’est fait manipuler ». Par définition, une « tête de cochon » décrit une personne qui n’en fait qu’à sa tête, soit exactement le contraire d’une personne manipulable.

Équité, équilibre, exactitude et impartialité sur le discours du sida

À aucun moment dans l’article les auteurs ne font référence aux scientifiques de renom qui ont influencé la compréhension qu’avait Bernard Lachance du sida, pas même le prix Nobel de médecine qui a découvert le VIH, Luc Montagnier, lequel était toujours vivant à l’époque de l’écriture de l’article.

Ce dernier affirme sans équivoque dans un documentaire sur le sida de 2009, House of Numbers (extrait avec sous-titres en français ici) :

« Luc Montagnier : Notre système immunitaire peut se débarrasser du virus en quelques semaines, si vous avez un bon système immunitaire […] Donc il y a plusieurs solutions qui ne sont pas le vaccin, le mot magique, le vaccin, de nombreuses solutions pour réduire la transmission, juste par de simples mesures de nutritions, en donnant des antioxydants, les bons antioxydants, des mesures d’hygiène et en combattant les autres infections »

Brent W. Leung : Si vous avez un bon système immunitaire, alors votre corps peut naturellement se débarrasser du VIH?

Luc Montagnier : Oui. » 

Notons que selon le site web du film, House of Numbers a remporté le prix du meilleur documentaire dans une dizaine de festivals. Contrairement aux articles de Mme Noël, une diversité de points de vue y sont présentés sobrement et sans partialité, ce qui explique peut-être son succès.

Luc Montagnier n’était pas le seul prix Nobel à avoir une vision peu orthodoxe du sida.

Kary Mullis, prix Nobel de chimie et inventeur du test PCR, avait déclaré en entrevue avec le Dr Gary Null que lorsqu’il travaillait sur un test PCR pour le VIH, il a commencé à écrire un rapport pour le National Institutes of Health (NIH) avec la phrase suivante : « Le VIH est la cause probable du sida. »

Il explique ensuite :

« Je croyais que c’était vrai jusqu’à ce que je m’implique dans cette affaire. J’ai donc demandé la référence pour cette affirmation et j’ai cherché pendant 2 ou 3 ans et je ne l’ai jamais trouvée. »

Montagnier lui aurait même confirmé qu’il n’existait aucune preuve de cela, selon un article de Serge Lang de 1994 publié dans Yale Scientific, présentée comme « la plus ancienne revue scientifique universitaire des États-Unis ».

L’article s’intitule, HIV AND AIDS: HAVE WE BEEN MISLED? Questions of Scientific and Journalistic Responsibility (VIH et SIDA : Avons-nous été induits en erreur? Questions de responsabilité scientifique et journalistique).

Cet article a été reproduit dans le volume 5 de la série de livres Contemporary Issues in Genetics and Evolution, publiée par Springer, l’un des plus grands éditeurs de publications scientifiques au monde. Ce volume, AIDS: Virus- or Drug Induced? (Le SIDA : induit par un virus ou un médicament?) représente un exemple à suivre d’impartialité que Radio-Canada aurait intérêt à imiter. Différentes opinions scientifiques y sont exposées au sujet du sida, sans discrimination, sans préjugés, sans étiquettes, mais surtout, sans censure.

Kary Mullis est également cité dans une réponse à un article du BMJ, « The politics of AIDS in South Africa: beyond the controversies » (La politique du SIDA en Afrique du Sud : au-delà de la controverse) :

Kary Mullis, un prix Nobel « dans les patates » selon Tristan Péloquin.

« Où est la recherche qui dit que le VIH est la cause du sida? Il y a 10 000 personnes dans le monde qui se spécialisent dans le VIH. Aucune n’a d’intérêt pour la possibilité que le VIH ne cause pas le sida, car leur expertise deviendrait inutile […] Je n’arrive pas à trouver un seul virologue pouvant me donner des références qui montrent que le VIH est la cause probable du sida. Si vous demandez cette information à un virologue, vous n’obtenez pas de réponse, vous obtenez de la colère. »

Est-ce le cas du Dr Réjean Thomas? « [L]a possibilité que le VIH ne cause pas le sida » aurait certes un impact négatif non seulement sur son expertise, mais aussi sur sa crédibilité et ses revenus.

Or, Brigitte Noël a trouvé pertinent d’enquêter sur les possibles revenus qu’Amélie Paul aurait fait avec les produits naturels que Bernard Lachance achetait en grande quantité. Pourquoi n’a-t-elle pas mis autant d’efforts à chercher les possibles conflits d’intérêts du Dr Réjean Thomas?

D’abord, il est important de souligner que ce n’est pas Amélie Paul qui a vendu ces produits à Bernard Lachance, mais c’est ce que laisse entendre l’article. L’auteure de ces lignes a discuté avec la personne qui lui a vendu ces produits et son nom ne figure nulle part dans l’article de Mme Noël.

Il est d’autant plus important de préciser que Dr Thomas reçoit des honoraires de Gilead Sciences, de Merck et de ViiV Healthcare. Il est donc payé par au moins trois pharmaceutiques et il fait la promotion du discours dominant sur le VIH et des thérapies dites conventionnelles.

Gilead Sciences se présente elle-même comme ayant « joué un rôle de premier plan dans le développement d’un traitement antirétroviral contre le VIH/sida ». Il y a là, au minimum, une apparence de conflit d’intérêt qui devrait être dévoilée à des fins d’exactitude et afin de servir l’intérêt public, lequel s’oppose souvent à l’intérêt des grandes sociétés pharmaceutiques, comme l’ont démontré de nombreux scandales, dont celui de l’AZT.

S’il est pertinent de savoir si Mme Paul a fait du fric avec des produits naturels qu’elle n’a jamais vendus, la question est tout aussi pertinente, sinon plus, pour le Dr Thomas, qui est l’homme de toutes les tribunes au Québec pour parler du sida et de ses traitements.

Par souci d’équité, d’équilibre et d’impartialité, Mme Noël aurait dû mentionner le scandale de l’AZT pour aider à faire comprendre les décisions de Bernard Lachance concernant sa santé. Pourquoi ne pas avoir posé la question à Réjean Thomas sur les effets pervers de l’AZT et ses impacts sur la perte de confiance envers les traitements contre le sida?

Mme Noël a préféré sélectionner des bouts de conversations entre M. Lachance et Mme Lanctôt, comme « Je croyais que l’escroquerie du sida était de faux tests, pas un virus créé » ou « Si je comprends l’article, la maladie a été créée et donc est là? ». Ces messages donnent l’impression que toutes les connaissances de Bernard Lachance sur le sida venaient de Guylaine Lanctôt. Or, encore là, rien n’est plus faux. Mme Noël publie également ce message privé de Mme Lanctôt :

« Le Sida n’est pas une maladie, mais un syndrome (signes et symptômes) que l’on rencontre dans de nombreuses maladies. »

C’est ce qu’ont démontré de nombreux experts et analystes critiques du sida, qui est en effet un syndrome, comme son nom l’indique : syndrome d’immunodéficience acquise. Feu Etienne de Harven, était l’un d’eux. Il a été professeur de biologie cellulaire à l’Université Cornell et professeur émérite d’anatomopathologie à l’Université de Toronto. Brigitte Noël ne tente pas de vérifier si l’information contenue dans le message de Mme Lanctôt est vraie, puisqu’elle semble convaincue que tout ce qui sort de la bouche de Mme Lanctôt est une hérésie qui mérite d’être dénoncée.

Une vidéo très instructive du Dr de Harven se trouvait d’ailleurs sur sidacensure.com, où il affirme :

Etienne de Harven

« Il y a un article extrêmement important qui a été publié aux États-Unis, en Californie, par Christine Johnson, en 1996, et où elle a établi une liste de près de 70 conditions médicales qui peuvent conférer ladite séropositivité. »

Cet article est disponible sur le site virusmyth.com.

Tout journaliste qui se respecte aurait fait suffisamment de recherche pour savoir tout cela et aurait confronté les points de vue opposés. Mme Noël présente toutefois la version officielle du sida comme la vérité absolue et toute autre version comme du vulgaire « conspirationnisme ». Cette façon de faire les choses relève de la propagande, pas du journalisme.

Liste des facteurs donnant des faux positifs. Source: Christine Johnson, « WHOSE ANTIBODIES ARE THEY ANYWAY? Factors Known to Cause False Positive HIV Antibody Test Results« , Continuum, sept./oct. 1996

Mme Noël a par ailleurs été bien plus complaisante avec Réjean Thomas que Stéphan Bureau a pu l’être avec Didier Raoult, et elle aurait véritablement servi l’intérêt public si elle avait à tout le moins évoqué les faux positifs causés par les tests ELISA, IFA et Western blot, mais surtout le scandale de l’AZT. Si elle ignorait ce scandale, elle aurait eu intérêt à ne pas écrire sur le sujet avant d’avoir fait un minimum de recherches.

Ce scandale ne date pas d’hier.

En 1989, Celia Faber de la revue Spin « a révélé des preuves irréfutables du sang froid de l’establishement de la lutte contre le sida qui poussait un médicament pire que la maladie et qui tuait plus rapidement que la progression naturelle du sida non traité ».

Dans son article Sins Of Omission (Péchés d’omission), elle expose comment ce médicament était non seulement « incroyablement rentable pour son fabricant, Burroughs Wellcome », mais aussi « une tempête tragiquement parfaite de bénéfices inattendus, de baume pour apaiser les militants du sida et les médias, et d’un boom opportun pour les titulaires de brevets liés au dépistage du VIH ».

Notons au passage que Dr Réjean Thomas, financé par des pharmaceutiques qui vendent des traitements contre le sida, fait la promotion de l’autodépistage du sida.

Les notions journalistiques d’équité, d’équilibre, d’exactitude et d’impartialité voudraient que le discours du Dr Réjean Thomas sur le sida soit opposé au contre-discours d’un expert critique du discours dominant sur le sida.

Or il ne l’est pas, malgré le fait que Bernard Lachance se soit appuyé sur l’expertise d’au moins deux prix Nobel, des prix récompensant précisément la découverte le VIH (Montagnier) et l’invention du test PCR (Mullis), deux éléments cruciaux à la compréhension du discours de Bernard Lachance sur le sida.

L’empreinte que laisse Brigitte Noël dans l’esprit du lecteur est que Bernard Lachance ne faisait que boire les paroles de Mme Lanctôt. Elle ignore complètement toutes les sources et informations crédibles que M. Lachance avait pourtant mises à la disposition de tous.

Équité, équilibre, exactitude et impartialité sur l’entourage de Bernard Lachance

À l’instar des discours sur le sida, les propos de la famille Lachance sont présentés sous un jour favorable alors que tous les amis de Bernard sont soumis à l’opprobre de la journaliste et subséquemment, à celui de la société. Dans les articles de Mme Noël, il y a les bons, soit la famille et le Dr Réjean Thomas, et les méchants, soit les amis de Bernard Lachance, « les conspirationnistes ».

À propos de l’équité, Radio-Canada dit :

« Au cours de la collecte d’information et dans nos reportages, nous traitons les personnes et les organismes avec ouverture et respect.

Nous sommes conscients de leurs droits. Nous les traitons sans parti pris. » (Soulignements ajoutés)

Le parti pris de Brigitte Noël est aveuglant, dès le chapeau de l’article Derniers jours de Bernard Lachance : de l’eau salée pour soigner l’ex-chanteur, où se trouvent déjà des étiquettes de « complotistes ».

On retrouve d’ailleurs dans ce texte 5 fois le terme « complot », 3 fois le terme « complotiste » et 8 fois le terme « conspiration » pour qualifier ou Bernard Lachance ou ses amis ou leurs propos.

En ce qui concerne l’équilibre, Radio-Canada prétend contribuer « aux débats sur les enjeux qui touchent le public canadien en présentant une diversité d’opinions » :

« Nos contenus d’information, dans tous nos médias, offrent un large éventail de sujets et de points de vue.

Lorsque nous abordons des sujets controversés, nous nous assurons que les points de vue divergents sont exprimés de manière respectueuse. Nous tenons compte de leur pertinence dans le cadre du débat et de l’ampleur du courant qu’ils représentent. » (Soulignements ajoutés)

Brigitte Noël n’offre pas de point de vue divergent de manière équilibrée. Les rares fois où elle présente le point de vue de M. Lachance et de ses amis, c’est de manière extrêmement péjorative, sans aucun respect et en insinuant que ces personnes sont dangereuses car elles ont potentiellement contribué à sa mort.  

Pourtant, le discours extrêmement bien documenté qu’avait Bernard Lachance sur le sida était hautement pertinent « dans le cadre du débat » sur sa propre mort et la journaliste lui a totalement manqué de respect en le présentant comme un homme faible et sans défense qui s’est fait manipuler par un entourage toxique, de soi-disant mentors conspirationnistes, et en qualifiant d’emblée son discours de « théories du complot ».

Une telle image du chanteur équivaut à profaner sa mémoire. Bernard Lachance ne mérite pas qu’on dise de ses opinions sur la maladie, qu’il connaissait cent fois mieux que ses sœurs et Brigitte Noël, que ce sont de vulgaires théories du complot sans même citer un seul des experts qui l’avaient convaincu que le sida était une arnaque.

Vie privée, exactitude et diffamation

Sur la norme de vie privée, Radio-Canada dit ceci :

« Nous ne révélons pas le contenu de la correspondance privée qui ne nous est pas adressée (courriels, lettres ou messages vocaux), à moins qu’il existe un intérêt public à diffuser l’information. » (Soulignements ajoutés)

Mme Noël a publié des conversations privées entre Bernard Lachance et Amélie Paul, lesquels sont remplis de gags et d’inside jokes incompréhensibles pour les lecteurs et pour les auteurs de l’article. Ces conversations ont été sorties de leur contexte pour donner l’impression, entre autres, que Mme Paul prescrivait des traitements à M. Lachance au lieu de lui dire de consulter un médecin. C’est tout simplement faux.

L’article suggère au lecteur que les produits naturels suggérés par Mme Paul, mais que quelqu’un d’autre lui a vendus, ont contribué à sa mort alors que le rapport du coroner publié en janvier 2022 n’y voit aucun lien, concluant ceci :

 « M. Bernard Lachance est décédé d’une septicémie bactérienne en lien à une infection au VIH. Il s’agit d’un décès naturel ».

Toutefois, l’impression qu’a donné l’article de Brigitte Noël a été tellement forte que le journaliste de La Presse, Tristan Péloquin, qui a lui-même écrit sur le rapport du coroner, a écrit dans son livre Faire ses recherches, que « […] le chanteur Bernard Lachance est subitement décédé à l’âge de 46 ans des suites de complications graves liées aux traitements de médecines naturelles qu’il s’administrait pour lutter contre le sida, maladie implacable dont il était atteint depuis une dizaine d’années. » (Soulignements ajoutés)

Tristan Péloquin, « journaliste d’enquête » de La Presse

Par ailleurs, quel était l’intérêt public justifiant la publication des messages privés de Mme Paul et M. Lachance?

Dans Gestion finance Tamalia inc. c. Garrel, on définit ainsi la notion d’intérêt public :

« Le droit à l’information se heurte parfois ici au droit à la vie privée, et particulièrement dans ses constituantes fondamentales que sont l’anonymat et l’intimité de chaque individu. C’est ici qu’intervient la notion d’intérêt public. Cet intérêt public ne se définit pas aisément. Il varie suivant les lieux et les circonstances. Le concept signifie principalement que la diffusion de cette information ne doit pas répondre à un simple objectif de voyeurisme médiatique. Il faut que l’on retrouve une utilité sociale à la diffusion de cette information.

À défaut, il y aura atteinte à la vie privée, que le droit devra sanctionner. » (Soulignements ajoutés)

Quelle était l’« utilité sociale » de publier des messages privés contenant des blagues que ne peuvent pas comprendre les lecteurs et qui suggèrent autre chose que de l’humour?

Quel était l’intérêt public de diffuser ces messages privés avant que le coroner ait rendu son rapport?

Même si le coroner avait conclu que les produits naturels suggérés par Mme Paul avaient causé la mort de M. Lachance, la publication de ces messages n’aurait été d’aucune pertinence puisque ce n’est pas elle qui lui a vendu ces produits.  

L’exactitude de l’information et l’intérêt public sont donc deux composantes fondamentales qui ne sont pas respectées dans l’article de Mme Noël, ce qui suggère que la journaliste cherchait à faire autre chose que « servir l’intérêt public » et semblait plutôt animée par un désir de ruiner la réputation des personnes ciblées dans son article.

M. Lachance utilisait des produits naturels comme d’autres prennent de la glucosamine ou de la spiruline. Le produit d’Immunotec en question, Immunocal, est décrit comme « une source naturelle de cystéine, précurseur du glutathion » et contribuant au « maintien d’un système immunitaire fort ».

Ce n’est pas un laxatif.

Le glutathion, selon Passeport Santé « est souvent présenté comme le plus important des antioxydants ». On ajoute qu’il « a une capacité très puissante à lutter contre les dégâts du stress oxydatif qui est à l’origine de nombreux dommages cellulaires ».

Incidemment, Luc Montagnier parle précisément du glutathion dans un article de Jeune Afrique de 2005 sur le VIH, Luc Montagnier : « Pourquoi la nutrition est essentielle ». On dit dans l’introduction que le « chercheur français, codécouvreur du VIH, explique comment les carences alimentaires affaiblissent le système immunitaire et favorisent donc la contamination ».

Le glutathion est une des solutions avancées par le chercheur :

« Nous travaillons aussi sur le glutathion, une petite molécule de trois acides aminés produite par l’organisme, mais qui manque chez des personnes en stress oxydant puisqu’elles en consomment trop pour neutraliser, encore une fois, les radicaux libres. Fabriqué maintenant sous une forme stable, il peut être pris par voie orale, et arriver dans l’intestin pour y exercer ses effets sans être détruit. »

La cystéine, précurseur de glutathion, est de plus recommandée par les plus grands experts en conditionnement physique comme Thomas DeLauer.

Les auteurs de l’article Derniers jours de Bernard Lachance : de l’eau salée pour soigner l’ex-chanteur, par leur manque de rigueur et d’exactitude ont eu pour effet de diffamer Mme Paul, puisque les échanges privés entre elle et Bernard Lachance ont été présentés de manière trompeuse, n’étaient d’aucun intérêt public et s’apparentent davantage à du voyeurisme et du sensationnalisme. Leur publication visait essentiellement à ruiner la réputation de Mme Paul. Encore aujourd’hui, on l’accuse d’être « la meurtrière de Bernard Lachance », alors qu’elle n’a même pas été interrogée par les policiers à la suite de son décès.

Cette façon de faire de Brigitte Noël n’est pas sans rappeler l’affaire Néron. Il semble que Radio-Canada n’a pas appris de cette erreur.

Rappelons que Radio-Canada a perdu en Cour suprême une poursuite en diffamation intentée par Gilles Néron. La société d’État a été blâmée pour avoir « présenté de manière trompeuse et incomplète » une lettre de M. Néron :

« […] les journalistes du Point considéraient que la lettre était une critique de leur travail “et qu’il fallait faire comprendre à son auteur qu’on ne s’en prend pas comme ça aux journalistes” […] » (Soulignements ajoutés)

Amélie Paul fait partie de cette frange grandissante de la société très critique envers les grands médias et qui se fait sans cesse qualifier de « complotiste ». Sa façon de questionner le discours unique sur la covid avec un humour et une ironie singulière l’a propulsée dans le cyberespace où elle a rejoint une foule de personnes pour qui les mesures sanitaires ne faisaient aucun sens et qui ne portent pas les médias dans leur cœur, une attitude qui n’est rien d’autre qu’une réaction au genre de propagande dans laquelle Mme Noël excelle.  

Radio-Canada cautionne ce pseudo-journalisme qui fait fi des standards du métier et de la majorité de ses propres normes et pratiques. Radio-Canada, par les articles de Brigitte Noël, ne traite pas du tout « les personnes […] avec ouverture et respect » ni « sans parti pris ». Vous faites exactement le contraire.

Ceux qui, comme Amélie Paul, osent questionner le discours dominant et le travail des journalistes sur un sujet donné sont rarement, voire jamais, présentés de manière neutre par ces journalistes qui, comme Brigitte Noël, semblent être en réaction à la critique de leur travail et animés davantage par un esprit de vengeance que par une quête de vérité.

Dans de nombreux reportages écrits ou audiovisuels, Brigitte Noël est extrêmement complaisante avec les personnes en position d’autorité qui promeuvent le discours unique et, inversement, en mode « attaque » avec ceux qui ont des critiques tout à fait légitimes envers les médias ou les autorités.

Son attitude avec Alexis Cossette-Trudel, Jean-Jacques Crèvecoeur, Amélie Paul et Guylaine Lanctôt ne laisse plus aucun doute : Brigitte Noël est indéniablement mue par une intention de nuire et non pas d’instruire. D’ailleurs, ses articles suggèrent qu’elle instrumentalise la mort de Bernard Lachance à cette fin, procurant par la bande à sa famille une douce vengeance contre ceux et celles qui contrairement à elle, étaient véritablement proches de lui et qui souffrent de son départ autant que sa famille, mais qui au lieu de recevoir de la compassion, ne reçoivent que des attaques malicieuses.

En terminant, il convient de noter que l’article 19 du Guide de déontologie journalistique du Conseil de presse du Québec dit ceci à propos de la discrimination :

« 19. Discrimination

(1) Les journalistes et les médias d’information s’abstiennent d’utiliser, à l’endroit de personnes ou de groupes, des représentations ou des termes qui tendent, sur la base d’un motif discriminatoire, à susciter ou attiser la haine et le mépris, à encourager la violence ou à entretenir les préjugés. » (Soulignements ajoutés)

Radio-Canada siège au conseil d’administration du Conseil de presse et nomme ses membres. Il est de son devoir de rappeler cet article à Mme Noël, dont l’ensemble de l‘œuvre suscite et attise « la haine et le mépris » de la population envers de soi-disant complotistes, et inversement, « la haine et le mépris » d’une partie de plus en plus importante de la population envers les journalistes. Ses articles ont pour effet d’« encourager la violence » verbale et psychologique, et d’« entretenir les préjugés » et le clivage social.

Si vous êtes véritablement « conscients de la portée de [v]otre travail et de [v]otre devoir d’honnêteté auprès des auditoires », veuillez agir de façon responsable et apporter les corrections requises aux articles de Mme Noël afin qu’ils reflètent vos normes et pratiques.

Cordialement,

Julie Lévesque
Journaliste indépendante

47 commentaires sur “Brigitte Noël: La veuve noire de Radio-Canada

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  1. Un article excellent, une vraie raclée à la gente journalistique qui se croit tout permis. Merci Julie de nous donner une voix intelligente et éclairée!

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  2. Si li y avait plus de journaliste comme vous Julie Lévesque, la population ne nagerait pas dans la confusion (somnambulisme) comme c’est le cas présentement, Merci de votre passion pour du vrai bon journaliste.

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  3. Bravo Julie Levesque pour ce travail digne de mentions. Je me souviens de ce que j’ai ressenti physiquement lorsque j’ai assisté à l’interview de Alexis C-T que je connaissais peu à l’époque: c’est un énorme vide au niveau du plexus solaire, comme si j’avais reçu un coup qui m’avait transpercé.. Les mots qui me sont venus à l’esprit instantanément sont : c’est une vipère, une empoisonneuse, désolée je n’y peux rien.

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  4. Bravo et merci Julie de t’être faites la Voix de la Vérité et de la Justice. Je pense que tout journaliste consciencieux devrait avoir accès à cette lettre afin d’en prendre exemple. Merci pour Bernard, Amélie, Alexis, Jean-Jacques et les autres qui malheureusement ont eu à gouter à la soupe amer de madame Noël. Merci

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  5. WoW! Quel article intelligent! Probablement un peu trop pour les gens qui semblent aimé dormir au gaz… nous vivons un temps de doutes et d’absurdités incompréhensibles. Merci pour ce travail colossal!

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  6. Merci de tout cœur Mme. Julie, de parlé pour nous, votre travail est essentiel pour tous le Québec, car nous sommes un peuple peureux des pas de Cou…..) Merci.

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  7. Excellent comme toujours Julie. En espérant maintenant que que tu sois entendue et qu’il y ait des répercussions malgré toute cette censure malsaine. Merci !

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  8. Après avoir regardé et démystifier sa façon de faire ses entrevues comme celle avec Alexis, on n’arrive facilement et rapidement à voir une gamine tellement en quête de se démarquer, conquérante de reconnaissance et de célébrité qu’elle perd conscience de sa vulnérabilité. Elle met tellement d’efforts pour atteindre son but qu’elle en oubli son image. Elle qui a justement été choisi pour c’est raison par des Big Boss qui ont détecté son innocence et qui veulent en tirer profit $$$ en l’envoyant au front sachant très bien que cà va faire jaser car peu importe l’issue d’une entrevue ou d’un reportage, l’important c’est que ça frappe, et ça peut venir autant de l’interviewé comme de l’intervieweur. On va se le dire, je ne voit pas quel journaliste intelligent aurais accepté un face a face avec Alexis, alors devrions-nous pas en avoir pitié d’elle?

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  9. Bravo et merci pour votre implication envers la communauté. Vous êtes Julie visiblement mué par le bien commun. On ne peut en dire autant de la grande majorité des journalistes de médias de grands chemins.

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  10. C’est drôle, je lis comment tu décris cette personne et ce que tu lui reproches… et j’ai vraiment l’impression que tu fais ton auto-portrait, mis à part que t’es jalouse que nos impôts te payent pas pour écrire tes bullshits… Votre merdia porte bien son nom, Infaux, comme tout ce que vous publiez.

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    1. Ah bon? Pouvez-vous élaborer et réfuter des arguments au lieu de recourir à l’insulte? Quand on a rien à dire d’intelligent, on ne fait qu’insulter. Je démontre comment Brigitte Noël ne respecte pas les normes et pratiques de Radio-Canada. Une personne intellectuellement honnête ferait la même chose, soit démontrer comment mes textes sont de la bullshit. Sinon, croyez-moi, je ne suis aucunement jalouse de qui que ce soit dans les grands médias. J’ai pitié de la pauvreté de leur contenu. Pour ce qui est de l’argent, je préfère la simplicité volontaire et l’intégrité. Vendre mon âme n’a jamais été une option 🙂

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  11. Merci, chère Julie d’avoir eu le courage de vous engager à participer à la réinformation dans un monde de Pensée Unique de totale censure et désinformation

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  12. Quel vibrante et cinglante réplique aux torchons de Nouelle!
    En espérant que cette passive/agressive anorexique soit mis au ban, finalement.
    Bravo Mlle Julie!

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  13. @DEXTER
    Pour être jaloux de quelqu’un qui écrit des torchons sans valeur comme Noüelle, faut être encore plus malade qu’elle, ce qui n’est effectivement pas le cas de Mlle Julie.
    Et pour le vôtre, venir écrire un commentaire aussi inutile qu’insipide montre bien votre mauvaise foi et, peut-être même, votre propre maladie.
    On a pitié de vous finalement.
    Bonne chance.

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  14. Bravo pour votre engagement et la qualité de votre travail très documenté et sourcé, contrairement aux médias de grands chemins !
    Ca fait du bien de vous lire. Merci.

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  15. Bonjour, Bel article. Je n’étais pas au courant de tout cela, ayant cessé de regarder et écouter les medias depuis 2019.

    Cette année-là, j’avais moi aussi écrit à divers journalistes, chaines TV et radio, ainsi qu’à l’association des journalistes (j’ai oublié le nom exact) pour me plaindre d’une couverture faussée dans le cas du film Leaving Neverland, et des partis pris diffamatoires, mensongers et oublieux des décisions de tribunaux pourtant largement connues. Bref, cette année-là j’ai compris que le monde du journalisme était définitivement corrompu, sans possibilité de repentir et de retour. La conclusion à tirer était limpide, et je l’ai appliquée. Je dois avouer que cela fait du bien…. Pour terminer, je reste sur l’idée exprimée alors, que si le journalisme ne se conforme pas à la déontologie, il creuse sa propre tombe. Merci pour vos efforts, nous sommes plus nombreux qu’ils veulent le laisser croire.

    Bonne journée. Danièle M. Verdi L.O.V.E. & HEAL THE WORLD

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  16. Merci infiniment Julie pour votre excellent travail de réinformation.
    Notre monde a vraiment besoin de gens impartiaux comme vous dans les médias.
    Je ne doute pas un seul instant que vous aurez gain de cause car vous êtes dans la vérité et l’honnêteté.

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    1. Merci Myriam! Toutefois, je ne suis pas impartiale, je m’affiche clairement comme étant bisiasée, mais contrairement aux journalistes mainstream, je suis biaisée envers le peuple et la justice, la vraie 🙂

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