Crimes et délits des médias dominants
« Gouverner par le chaos » est un bouclier contre l’esclavage intellectuel. Il résume merveilleusement bien les concepts de gestion du comportement des masses par l’élite : stratégie du choc, ingénierie sociale, fabrication du consentement, mind control, biopouvoir…
La Mafia numéro 1, c’est le gouvernement. Le Parrain, c’est l’industrie. Dans ce dernier épisode sur «La mafia médicale», nous inspectons l’architecture de ce véritable cancer sociétal, ses tactiques déloyales et nocives pour maintenir son hégémonie et les armes qu’elle emploie pour écarter les dissidents.
On parle rarement des maladies iatrogènes, celles causées par le système médical. Guylaine Lanctôt a non seulement osé les dénoncer dans son livre «La mafia médicale» en 1994, mais elle a eu l’audace d’affirmer que les vaccins provoquent des maladies et «épuisent le système de défense des enfants».
Dans «La mafia médicale», Guylaine Lanctôt (Ghis) expose sa vision de ce qu’est véritablement la santé et dénonce la corruption des institutions qui profitent de la maladie, l’entretiennent et font obstacle à la santé.
La démocratie que nous avons connue est, selon Jouvenel, «centralisatrice, réglementeuse et absolutiste». Elle «apparaît donc comme la période d'incubation de la tyrannie».
"[L]es intellectuels sont la première cible de la propagande que sécrète notre monde, et ils remplissent parfaitement la fonction que les institutions dominantes leur confient en détournant l'attention du public des véritables enjeux qui le concernent, en le privant des moyens de se défendre, en aidant à formuler et à articuler les consensus des puissants."
Briser la chambre d’écho mainstream, voilà ma nouvelle mission et ma nouvelle série! Dans ce premier épisode, vous vivrez mon incursion au cœur de la conférence «Niaise pas avec les faits – la grande discussion», organisée par La Science d’Abord, un organisme payé par vos impôts pour vanter les faux miracles des Pfizer de ce monde et favoriser le fascisme intellectuel, frauduleusement rebaptisé «lutte à la désinformation».
Hier soir, le 26 novembre 2024, à Montréal, Radio-Canada a été «prise en otage». L’acte «criminel» s’est produit lors de l’événement «Fais-tu confiance aux médias?», une initiative de la société d’État visant à avoir «une grande conversation citoyenne sur la confiance envers les médias».
Hier soir j’ai assisté à l’événement « Niaise pas avec les faits », organisé par La Science d’Abord, un « collectif de scientifiques indépendant·e·s, de chercheur·euse·s, d’expert·e·s en climat et en santé et de communicateur·ice·s scientifiques ». Financé par le gouvernement fédéral, cet organisme créé en 2020 est voué principalement à la défense de l’industrie pharmaceutique, sous couvert de « lutte à la désinformation ».
Le Tribunal de l'infaux 