Le vaccin contre la grippe augmente les risques de coronavirus de 36 % selon une récente étude du Pentagone

Une étude du Pentagone parue le 10 janvier dernier dans la revue Vaccine a démontré que le vaccin contre la grippe augmentait significativement les risques d’attraper un coronavirus :

«Se faire vacciner contre la grippe peut augmenter le risque d’attraper d’autres virus respiratoires, un phénomène connu sous le nom d’interférence virale […] L’interférence virale dérivée de vaccins a été associée de manière significative au coronavirus et au métapneumovirus humain.» (C’est l’auteure qui souligne.)

Bien qu’elle ne comporte pas de données sur le SARS-CoV-2, le coronavirus responsable de la COVID-19, on ne peut nier l’importance de cette étude en pleine pandémie de coronavirus.

Contrairement aux études chinoises, les études étasuniennes – surtout celles du Pentagone – ne font pas l’objet de suspicions dans les hautes sphères médiatico-politiques occidentales. Dans le contexte actuel, on peut s’attendre à ce que cette étude, au lieu d’être discréditée, soit passée sous silence afin d’éviter d’alimenter le septicisme envers la vaccination.

RFKJ
Robert F. Kennedy Jr.

Robert F. Kennedy Jr., défenseur de nombreuses causes environnementales et président de Children’s Health Defense, a publié un article à ce sujet le 16 avril dernier :

«Portant spécifiquement sur les virus non grippaux, l’étude a démontré que les probabilités de contracter un coronavirus étaient nettement plus élevées chez une personne vaccinée que chez une personne non vaccinée, avec un rapport de cotes (association entre une exposition et un résultat) de 1,36. Autrement dit, les personnes vaccinées avaient 36 % plus de chances de contracter un coronavirus.» (C’est l’auteure qui souligne)

2020-Pentagon-Study

Il ajoute que «plusieurs autres études suggèrent que le vaccin contre la grippe augmente les risques de maladies respiratoires aiguës non grippales chez les enfants».

Il cite entre autres :

  • une étude étasunienne de 2018 appuyée par le Centres for Disease Control (CDC), ayant conclu que la vaccination contre la grippe augmentait de 4,8 % les risques de maladies respiratoires non grippales chez les enfants de moins de 18 ans.
  • une étude prospective cas-témoin menée auprès de jeunes Australiens en bonne santé, publiée dans The Pediatric Infectious Disease Journal en 2011, laquelle «a conclu que la vaccination contre la grippe saisonnière doublait leurs risques de contracter un virus autre que l’influenza». Les risques de souffrir d’une «maladie respiratoire aiguë liée à un virus, incluant l’influenza, augmentaient de 73 %». (C’est l’auteure qui souligne)
  • une étude effectuée à Hong Kong, publiée dans Clinical Infectious Diseases en 2012, ayant démontré que les personnes vaccinées contre la grippe courraient 4,4 fois plus de risques de souffrir d’infections respiratoires non grippales.

En 2010, non pas une, mais DES études canadiennes suggéraient pour leur part que la vaccination contre la grippe saisonnière augmentait les risques de contracter la grippe A H1N1 :

Le Center for Infectious Disease Research and Policy du Minnesota écrivait à l’époque :

«Les études, qui ont porté sur environ 2 700 personnes, ont montré que la probabilité de devoir consulter un médecin en cas de grippe pandémique était de 1,4 à 2,5 fois plus élevée chez les personnes qui avaient été vaccinées l’automne précédent.

Les auteurs préviennent que même une conception soigneuse ne peut exclure la possibilité qu’un biais méthodologique non détecté ait affecté les résultats puisque les quatre études ont été réalisées par observation […]

Les chercheurs canadiens ajoutent toutefois que leurs résultats pourraient signaler un mécanisme biologique d’interaction jusqu’ici non détecté, lequel pourrait se reproduire dans le cas rare d’une souche pandémique apparaissant après le début d’une saison de grippe. La souche pandémique de 2009 a fait surface dans les dernières semaines de la saison grippale 2008-2009, des mois après l’administration des vaccins pour cette saison.

“Nos résultats peuvent sembler contre-intuitifs, mais ils ne peuvent être écartés au motif qu’aucun mécanisme biologique ne peut les expliquer de manière plausible”, écrivent les chercheurs canadiens. “Si ces observations reflètent un effet biologique réel […] elles soulèvent des questions importantes qui justifient une observation scientifique plus poussée.”» (C’est l’auteure qui souligne)

Sur le site du ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec, on peut lire ceci concernant la vaccination contre la grippe :

«Il est fortement recommandé aux personnes qui ont plus de risques de présenter des complications de se faire vacciner chaque année afin de se protéger. Pour ces personnes, la vaccination constitue le meilleur moyen de se protéger contre la grippe et ses complications.

En effet, la vaccination permet au corps de fabriquer des anticorps pour combattre la grippe. Cependant, les études ont montré que le nombre d’anticorps peut diminuer dans l’année suivant la vaccination. Cette diminution touche particulièrement les personnes plus âgées et les personnes dont le système immunitaire est affaibli.»

Or, selon les études citées plus haut, s’il protège contre la grippe saisonnière, le vaccin contre l’influenza affaiblit également le système immunitaire en le rendant plus vulnérable à d’autres virus et maladies respiratoires.

Selon les données de couverture vaccinale au Québec, 65 % des personnes de 75 ans et plus sont vaccinées contre la grippe.

Si l’on se fie à l’étude du Pentagone, les personnes âgées étant déjà plus susceptibles d’attraper le nouveau coronavirus pourraient courir davantage de risques de souffrir de la COVID-19 si elles ont été vaccinées contre la grippe saisonnière.

Note de l’auteure, le 22 avril 2020

Plusieurs personnes ont tenté de discréditer cet article en affirmant que la conclusion de l’étude du département de la Défense ne conclut pas que les personnes vaccinées contre la grippe sont plus à risque de coronavirus.

Ce n’est pas faux. La conclusion à la fin de l’étude parle de « résultats mitigés » concernant les virus respiratoires :

« The overall results of the study showed little to no evidence supporting the association of virus interference and influenza vaccination. Individual respiratory virus results were mixed, and some rebutted virus interference.” (C’est l’auteure qui souligne.)

Or, dans la partie résultats de l’étude, il est clairement indiqué que les personnes vaccinées étaient significativement plus à risque de coronavirus que les personnes non vaccinées :

“Examining non-influenza viruses specifically, the odds of both coronavirus and human metapneumovirus in vaccinated individuals were significantly higher when compared to unvaccinated individuals (OR = 1.36 and 1.51, respectively) (Table 5). (C’est l’auteure qui souligne.)

41 commentaires sur “Le vaccin contre la grippe augmente les risques de coronavirus de 36 % selon une récente étude du Pentagone

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  1. Attention quand même au titre de votre (traduction) d’article, qui est faux quand il mentionne le Pentagone* : le disclaimer précise que le PENTAGONE n’endosse rien : « The views expressed in this article are those of the authors and do not necessarily represent the official policy or position of the Department of Defense, or the U.S. Government. »

    * le PENTAGONE. Si je pouvais mettre des majuscules plus grandes, je ne me gênerais pas.

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    1. Merci pour la suggestion, mais je ne suis pas d’accord. Il s’agit d’une étude faite sur du personnel militaire et menée par un militaire au service du département de la Défense. Il s’agit bien d’une étude du Pentagone. Ce serait comme dire qu’un article publié par La Presse, par un chroniqueur payé par La Presse n’est pas un article de La Presse parce que c’est écrit en bas du billet que le journal n’endosse pas nécessairement les propos de l’auteur. Ça reste un article de La Presse.

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      1. Non vous mélangez tout.
        L’article est publié par un éditeur tiers (Elsevier), et l’employeur de l’auteur se défausse de toute responsabilité.

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      2. Désolée du délai de réponse, je n’avais pas vu votre commentaire.

        Vous amenez une bonne nuance, toutefois expliquez-moi pourquoi le Pentagone ressent le besoin de publier un avis de non-responsabilité s’il n’a rien à voir avec cette étude?

        Par ailleurs, si l’on suit votre « logique », de nombreuses publications produites par le département de la Défense ne sont pas des publications du département de la Défense uniquement en raison de la présence de ce genre de disclaimer, comme dans le MSMR par exemple :

        “MEDICAL SURVEILLANCE MONTHLY REPORT in continuous publication since 1995, is produced by the Armed Forces Health Surveillance Branch (AFHSB) […] Opinions and assertions expressed in the MSMR should not be construed as reflecting official views, policies, or positions of the Department of Defense or the United States Government.”

        https://health.mil/Military-Health-Topics/Combat-Support/Armed-Forces-Health-Surveillance-Branch/Reports-and-Publications/Medical-Surveillance-Monthly-Report

        Je mélange tout vous dites?

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      3. Mais vous êtes complètement perdue. Je ne vous parle pas à vous… Faut vous calmer ma ptite dame ! Déjà que vous mentez alors que vous prétendez combattre le mensonge. Je répondais au commentaire d’Emma Kahn, pas à vous. Vous, on sait que vous mentez…Que vous mélangez tout…

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  2. Voici ce que dit l’article

    Influenza vaccination and respiratory virus interference among Department of Defense personnel during the 2017–2018 influenza season
    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31607599

    Facilitation COVID-19 suite à un vaccin contre la grippe
    D’après un article paru récemment, une vaccination antérieure contre la grippe saisonnière pourrait rendre plus susceptible aux infections par les coronavirus : il s’agit des coronavirus en général car l’étude est parue avant l’émergence du nouveau virus
    Vaccine. 2020 Jan 10;38(2):350-354. 
    Influenza vaccination and respiratory virus interference among Department of Defense personnel during the 2017-2018 influenza season. 
    « Globalement, nous n’avons pas retrouvé dans la population étudiée ici d’interférence de la vaccination anti-grippale sur les autres infections respiratoires.
    Cependant des résultats mitigés sont retrouvés lorsqu’on recherche l’interférence de la vaccination sur des infections respiratoires spécifiques des certains virus.
    Cette interférence (c’est à dire plus grande susceptibilité à l’infection) a été retrouvée pour les infections à coronavirus (d’autres que le SARS-CoV-2, ces virus qui sont les virus des rhumes circulent en permanence) et à métapneumovirus humain.
    Inversement la vaccination antigrippale protège des virus de la grippe, mais aussi des co-infections par le virus parainfluenza, le VRS et les virus non grippaux. »

    MZIS CETTE CONCLUSION NE DIT PAS TOUT!
    Les patients non vaccinés pour la saison (mais peut-être les saisons précédentes), les vaccinés moins de 14 jours avant l’étude, les patients avec en même temps grippe et infection respiratoire non grippale, les patients qui étaient malades juste avant vaccination, les gens sans certificat de vaccination (mais qui affirmaient avoir été vaccinés), finalement seul le personnel actif de l’armée (en gros de moins de 45 ans : https://www.statista.com/statistics/232711/number-of-active-duty-us-defense-force-personnel-by-age/ ) a été testé!
    De plus les vaccins sont obligatoires pour le personnel actif dans l’armée!
    La plupart des patients qui n’avaient pas de certificat de vaccination étaient hors du personnel actif, donc plus âgés, donc éliminés de l’étude!
    Et enfin : Après ajustement en fonction du groupe d’âge et de la saisonnalité, la probabilité d’avoir d’autres virus respiratoires dans la population vaccinée a augmenté de 23% (IC 95% : 0,86, 1,76)

    CONCLUSION, il y a certainement un risque beaucoup plus important que ce qui est dit dans cet article pour les plus de 45 ans d’attraper une infection respiratoire (pas seulement le COVID-19) chez les vaccinés contre la grippe!

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  3. Concernant le problème du vaccin anti-covie et de l’immunité de groupe/
    https://www.aimsib.org/2020/05/03/vaccin-anti-covid-19-et-immunite-de-groupe-cest-non-et-encore-non/
    Vaccin anti-Covid-19 et immunité de groupe, c’est non… et encore non

    Bien que toutes les réflexions actuelles se tendent avec avidité vers un déconfinement proche, prenons ici un coup d’avance, c’est bien le double sujet du vaccin salvateur et de l’immunité de groupe providentielle qui occupera tous les esprits demain. Est-il bien raisonnable d’espérer résoudre si facilement l’énigme COVID-19, que craindre à grande échelle pour la santé publique si nos « experts » en viennent à nous mener vers des situations plus dommageables encore que celle que nous vivons aujourd’hui? C’est le Dr Emma Kahn, notre formidable virologue, qui nous aide ici à mettre à jour nos connaissances. Bonne lecture.
    Résumé
    L’immunité de groupe est une notion qui repose uniquement sur des modélisations mathématiques tirées d’observations à partir de la rougeole pendant l’ère pré-vaccinale.
    Ces modélisations et les stratégies préventives qui en sont issues ont failli à éradiquer cette maladie et failliront encore plus à maitriser le Covid-19 dû à un virus émergent, donc mal connu, dont les caractéristiques en termes épidémiologiques semblent bien loin de celui de la rougeole (d’après ce qu’on sait du SARS-CoV de 2003) et de ce qu’on a appris du SARS-CoV-2.
    Les tentatives pour mettre au point un vaccin contre le SARS de 2003 (dû à un proche parent de SARS-CoV-2) ont toutes échoué depuis, en particulier à cause de la survenue de graves phénomènes immuno-pathologiques, dont la redoutable facilitation de l’infection induite par certains types d’anticorps. Pour cette raison, aucun vaccin ne devrait être commercialisé contre le Covid-19 sans que toutes les précautions aient été prises.
    Les quelques essais en cours sont menés par des « start-up » et non par la grande industrie pharmaceutique qui comme à l’habitude attend pour se porter acquéreur des éventuelles découvertes futures.

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  4. Cet article a été vérifie, il s’agit d’une malhonnêteté scientifique. L’Etude existe réellement mais les antivaccins n’ont repris que ce qu’ils voulaient bien dire…. Tribunaldel’infaux prétend dire la vérité contrairement aux médias classiques manipulés, mais le journalisme s’apprend…. Donc ce site n’est pas sérieux et voici une vérification qui explique tout : https://www.quebecscience.qc.ca/sante/vaccin-grippe-augmente-t-il-risques/

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    1. Merci M. Gerster d’avoir partagé ce chef d’oeuvre de désinformation de Québec Science signé Valérie Borde, laquelle se méritera une plainte formelle du Tribunal de l’infaux. Il y a tellement de manquements à l’éthique journalistique dans son article, qu’elle en a fait un « text book example » de propagande. Je vous tiens au courant! Cheers mate 🙂

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      1. Bonjour Madame, je vous souhaite bonne chance pour votre plainte. Vous parlez de désinformation ? Ce n’est pas vous qui titrez que c’est une étude du Pentagone ? Mensonge ! Et pour cela il vous suffit d’ouvrir l’étude en question, d’aller à la dernière page et de lire la mention des auteurs qui précisent que cette étude n’engage en aucun cas la Defense ou le Gouvernement US. Comme je vous l’ai dit le journalisme ne s’improvise pas. Et dans votre cas il vous suffirait de faire preuve de rigueur et de lire l’entier de l’étude, la comprendre et bien lire jusqu’au bout. Alors je vous souhaite une bonne chance dans votre plainte.😂😂😂😂😂

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      2. Je ne sais pas ce que vous ne comprenez pas ou vous êtes de mauvaise foi et non professionnelle. Lorsque des chercheurs ou toutes autres professions disent que leurs travaux n’engagent que eux et non leurs employeurs, cela me paraît être une évidence. Mais vu que ne semblez ne pas être au fait avec la rigueur et la compréhension je vais vous faire un dessin : Estimons que vous êtes une journaliste, en tant que telle vous faites plusieurs enquêtes par jour, en utilisant les ressources de votre employeur et cela sur une période d’une semaine pour vérifier également vos infos. Vous avez fait un travail et vous le présentez à votre rédacteur en chef. Celui-ci refuse l’un de votre travail pour X raison(s), vous pouvez publier votre enquête refusée sous votre nom, mais en dégageant de toutes responsabilités votre employeur. C’est exactement pareil là. Les auteurs dégagent très clairement de toutes responsabilités la défense et le gouvernement US. C’est un fait et n’est pas un sujet à débat. Mais qu’importe, vous avez déclaré vouloir déposer plainte publiquement dans un blog publique. Il vous faut aller jusqu’au bout maintenant. Une accusation publique non fondée est poursuivie sur plainte. Bonne chance !

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      3. Ah, vraiment? Merci de m’éclairer avec vos dessins, Monsieur, comment ai-je pu être si stupide! Donc si j’ai bien compris, ce rapport publié par Environnement et Changement climatique Canada, sur lequel on peut lire «Auteur, Environnement Canada», où l’on indique qu’il s’agit d’un «document officiel publié par le gouvernement du Canada» n’est pas un document officiel du gouvernement du Canada parce que l’on peut lire cet avis de non-responsabilité :
        « Ce document est une collection d’opinions de groups divers et ne reflète pas forcement les politiques ou positions d’Environnement Canada. » https://www.ec.gc.ca/Air/default.asp?lang=Fr&n=1F36EFBB-1&pringfullpage=true&wbdisable=true

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      4. Et ce document avec des logos du Canada partout, publié par Sécurité publique Canada, financé par le gouvernement canadien n’est pas un document du gouvernement Canadien parce qu’il contient un avis de non-responsabilité?
        « La recherche pour cette étude et sa publication ont été financées par le Fonds de recherche en matière de politiques de Condition féminine Canada. Les points de vue exprimés dans ce document sont ceux des auteures et ne reflètent pas nécessairement la politique officielle de Condition féminine Canada ou du gouvernement du Canada. »

        Cliquer pour accéder à cnsgl-2002-00001071-fra.pdf

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      5. Ne vous éloignez pas du sujet. On parle de votre article. Un article volontairement faux, partisan, orienté et dans vos commentaires vous portez encore une accusation fausse. Des suites suivront…. Pour le reste personne n’a été saisi, donc n’est pas sujet à débat ici.

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      6. Ha ha ha vous êtes tellement malhonnête intellectuellement, pas étonnant que vous défendiez Valérie Borde! Qui se ressemble s’assemble.

        Je ne m’éloigne pas du sujet!!! Je suis en plein dedans!

        Le noeud de votre argumentation est que le disclaimer PROUVE qu’il ne s’agit pas d’une étude du Pentagone. Or, l’étude a été menée par un chercheur des Forces armées américaines, sur du personnel de la Défense.
        On peut voir son adresse dans l’étude :

        Armed Forces Health Surveillance Branch Air Force Satellite, 2510 5th Street, Bldg 840, Wright-Patterson AFB, OH 45433, United States

        Qui a financé l’étude vous pensez? Il a payé ça de sa poche? Pourquoi selon vous le département de la Défense ressent le besoin d’écrire un avis de non-responsabilité s’il n’est pas à l’origine de cette étude?

        Et pensez-vous vraiment que le département de la Défense, laisserait un de ses employés utiliser les données du DoD pour mener une étude et la publier en son nom personnel?

        Et vous m’accusez de ne rien comprendre au journalisme?! Si j’étais vous, je me garderais une petite gêne.

        Sinon, Valérie Borde elle-même le dit : « Dans cette étude réalisée dans le cadre du Programme de surveillance globale des pathogènes respiratoires du Département de la défense… »

        Alors? Elle est dans le champ elle aussi???

        I rest my case 🙂

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      7. Madame, je ne vais pas perdre plus de temps, pour l’instant, avec vous. Vos interprétations n’ont aucune valeur. Les faits et que les faits ont une valeur.
        L’étude signée par les auteurs dit clairement qu’ils écrivent en leurs noms et dégagent de toutes responsabilités la Défense et le Gouvernement US.
        Ce sont les faits. Le reste n’est que « broderie ».
        Rapprochez-vous de votre Conseil, que l’on nomme aussi avocat, qui vous expliquera (il est payé à l’heure…) que cette étude n’est donc pas de la Défense et du Gouvernement US, mais d’employés qui ont utilisé les ressources légalement de la Défense pour faire une étude qui n’a pas été, au final, acceptée par leurs supérieurs. Bonne soirée !

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      8. Et ce rapport du Sous-comité sénatorial sur la santé des populations, publié par le Réseau pancanadien de santé publique (« la table de gouvernance officielle de la santé publique au sein des gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux du Canada »), lui non plus, n’est pas un rapport gouvernemental pour la simple raison qu’on y trouve un avis de non-responsabilité?
        « Le présent document présente les principaux thèmes et conclusions du Sous-comité sénatorial sur la santé des populations. La documentation résumée dans ce rapport et toute opinion exprimée par les auteurs ne reflètent pas nécessairement les points de vue du RPSP, du GEPSP, des gouvernements provinciaux et territoriaux ou de l’Agence de la santé publique du Canada. »
        http://www.phn-rsp.ca/pubs/ssphfr-rfscssp/index-fra.php

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  5. Il est dommage que les critiques se concentrent sur un point de détail et pas sur le fond de l’article : le vaccin contre la grippe augmente les risques d’infections à virus respiratoires dont les coronavirus.
    On peut donc supposer que les personnes qui critiquent la forme n’ont rien à dire sur le fond et ne sont aucunement préoccupées par l’information délivrée par cet article!

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    1. Bonsoir, je pense que dès l’instant qu’une personne ou un groupe de personnes utilisent le mensonge pour faire croire à leurs vérités non établies ne valent pas plus que les plus gros menteurs sur cette terre. Un mensonge est un mensonge. Le mal est le mal. Le mensonge doit être combattu qu’avec la vérité. Une dérive et hop, plus de vérité, plus de crédibilité. Cela revient à dire, pour une image, qu’une personne qui dénonce des dessous de table accepte un dessous de table, moins importants, certes. Mais un dessous de table pour abattre les dessous de table ? donc la magouille, c’est de la magouille. Ce que vous appelez un détail devient souvent virale…Et devient ainsi énorme.

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      1. Monsieur Gerster, vous dites tellement n’importe quoi, c’en est divertissant! Vous me dites que mon titre est un mensonge, je vous prouve le contraire, preuve à l’appui, incluant même une citation du texte de Québec Science que vous employez pour m’attaquer, et visiblement vous ignorez les faits tout en me disant « les faits et que les faits ont une valeur » et en persistant à dire que je mens.

        Plus vous parlez plus vous vous ridiculisez en m’accusant de mentir, car vous êtes incapable de le démontrer. Vos paroles ne sont que du vent. Totalement vides de sens.

        Vous disiez plus tôt avoir perdu assez de temps avec moi. À défaut d’être cohérent, vous pourriez au moins tenir votre parole et aller déblatérer vos inepties ailleurs.

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  6. M r Gerster
    Vous dîtes avoir répondu à mon commentaire?
    Je ne vois pas votre réponse!
    Je précise à nouveau que je suis intervenue sur le fond de l’article et pas sur l’attribution de cet article à tel ou tel auteur!
    Vous maniez remarquablement bien la mauvaise foi, bravo! où avez-vous appris à le faire ainsi?

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    1. Bonjour Madame, en effet je vous ai répondu hier et cela a été ma dernière intervention. J’ai bien cliqué sur la flèche de réponse à votre commentaire. Malheureusement, ce blog est dirigé par une menteuse, mais en plus vous m’apprenez là qu’il est mal géré et conçu. Je vous remercie de m’en avoir apporté la preuve. Et tout ceci est génial, car la dizaine de personnes que je connais et qui avaient partagé cette étude avec le titre de cette blogueuse en herbe qui se sont fait avoir… Ils ont ouvert les yeux. Et c’était là mon seul but. La désinformation doit être freinée. Sur la dizaine, cela fait d’autres personnes et ainsi de suite… Les gens ouvrent les yeux car ils n’avaient effectivement pas vu la précision des auteurs de l’étude qui dégagent de toutes responsabilités la Défense et le GVT US. La crédibilité de la blogueuse, sur cet article, n’est pas entamée, elle est réduite à néant. Ce ne sont pas ses blablas ou sa broderie qui empêche les faits, la vérité. Il y a une étude, signée, les auteurs disent qu’ils ont fait cette publication en leurs noms propres et en dégageant de toutes responsabilités toutes autres personnes dont la Défense et le GVT US. Le reste n’est que broderie… Les faits sont les faits et ne sont pas là pour être interprétés d’une manière malhonnête par envie ou par convictions tierces. Seule la vérité compte…

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  7. merci pour votre réponse Mr Gertser:
    Vous confirmez donc votre complète mauvaise foi!
    J’arrête donc là ces échanges inutiles avec vous

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    1. Oui en effet, il est préférable que vous vous arrêtiez là. Vos arguments étant totalement absent face aux faits (et c’est normal), il est préférable que vous ne donniez plus de suites sur cet article mensonger de la part d’une blogueuse menteuse, qui mélange tout et dont le blog est mal conçu. Ce sont là les seules conclusions a tirer de ces échanges.

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      1. Ha ha! Projection, quand tu nous tiens! Où sont vos faits, mon cher? Vous ne faites que m’accuser de mentir, mais vous ne m’avez rien démontré. Vous dites absolument n’importe quoi. De quels mensonges vous parlez? Dites-moi concrètement sur quoi je mens et montrez-moi la preuve. Tous mes textes sont factuels, vérifiables et vérifiés, et tous les liens sont disponibles. Vous êtes visiblement incapable de démontrer ce que vous affirmez, je vous suggère donc fortement d’aller troller ailleurs. Si vous m’accusez une fois de plus de mentir sans preuves, vous en subirez les conséquences.

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      2. Mes faits ? Ce ne sont pas mes faits, mais les faits. Contrairement à VOTRE vérité tronquée. Mais ma chère, ils sont sur l’étude, tout à la fin : « The views expressed in this article are those of the authors and do not necessarily represent the official policy or position of the Department of Defense, or the U.S. Government. ». Vous comprenez l’anglais ? Je crois que oui….😉 Conclusion, cette étude n’engage pas le PENTAGONE. Conclusion simple et utile, votre article est faussement titré, vous avez fait un FAKE pour donner de l’importance à une étude qui n’a pas été acceptée par le PENTAGONE et le GOUVERNEMENT US. Est-ce le fait que vous soyez jolie qui vous empêche d’être intelligente ?😉 Ah, j’ai dit le fait que soyez jolie… ça il est vrai que c’est un fait qui peut amener une sorte de question d’interprétation et de goût… Mais pas dans cette étude….

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      3. On tourne en rond. Je vous ai déjà démontré que ce que vous dites ne fait aucun sens puisque les publications de l’Armée contiennent ce disclaimer. Si je mens, l’article sur lequel vous vous appuyez pour me le prouver ment aussi. Allez donc accuser Québec Science au lieu de perdre votre temps avec une blogueuse! Québec Science écrit: « Dans cette étude réalisée dans le cadre du Programme de surveillance globale des pathogènes respiratoires du Département de la défense […] »

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      4. Je suis désolé, mais votre démonstration n’est que broderie, comme déjà dit… Seul les faits comptent. Les faits sont exposés. Vous allez à l’encontre des faits ? vous mentez alors… désolé… mais c’est un fait. Une déduction de la logique pure et dure

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